Manuel Valls accueilli dimanche soir en Gare de Lyon aux cris de «Francs-maçons, en prison !»

95 Comments

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  V_Parlier , 19 août 2013 @ 11 h 28 min

  Mais je n’ai pas écrit çà.
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  bingo , 19 août 2013 @ 11 h 38 min

  Oh que oui ! Criant de vérité ! Je cherche des méthodes pour leur faire ouvrir les yeux, utiliser celles de l’ennemi ?
  Mais il faut trouver les moyens…
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  bingo , 19 août 2013 @ 11 h 41 min

  Très bonne idée, les fiches
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  François Desvignes , 19 août 2013 @ 12 h 01 min

  @monhugo

  Mais qui parle de sang ?

  Personne voyons.

  Ou eux seulement.

  Nous allons les “décapiter” politiquement cela va sans dire.

  Si possible sans faire couler le sang : cela dépend d’eux, pas de nous !

  Comment décapiter une courant politique insinué dans les pores de la société depuis plus de deux cents ans ?

  – en faisant changer la peur et la honte de camp.

  Comment faire changer la peur et la honte de camp ?

  – en leur signifiant que nous ne souhaitons pas changer de personnes ; ou de majorité ; mais de régime. En leur signifiant que nous souhaitons la mort de la République.

  C’est peut-être cela notre point de désaccord en même temps que votre inexplicable tiédeur ?

  Vous souhaitez peut-être tout sauf la mort de Marianne?

  Alors que je ne souhaite rien d’autre que la mort Marianne.

  Il n’ y aurait alors aucune exaltation dans tout cela ni même aucune prétendue tiédeur : seulement un combat et une désertion.

  En 1938, vos semblables étaient à Munich et il y a 2000 ans ils étaient en ville, pas sur le Golgotha.

  Nous les décapiterons : nous retrancherons du corps social les chefs qui l’ont trahi.

  Tout ce ramassis de scribes et de pharisiens de la “légalité républicaine”sentent le pourri, ce qu’ils sont.

  Mais vous, voilà ce que vous nous expliquez à mots choisis derrière votre pseudo : “Oui ,les français sont trop mous trop cons, donc je m’autorise la neutralité du confort et le confort de la neutralité”

  Vous n’avez pas honte ?

  Je veux dire de reprocher aux français la mollesse et la tiédeur derrière lesquelles vous vous cachez ?

  Je vous réponds sous mon vrai nom, ce que nos ennemis savent déjà :

  Oui, nous brûlerons leur drapeau.
  Non, ce n’est pas un délit, ni une menace ; c’est un casus belli politique, une certitude.

  Nous le ferons avant un an.
  Au grand jour.

  Brûler un torchon, c’est rien cela.
  Mais tellement plus éloquent !
  Et surtout pas exalté : seulement engagé.

  Tenez entrainez-vous : achetez un drapeau européen et brûlez-le après l’avoir imbibé d’essence: vous verrez, vous respirerez beaucoup mieux après.

  Et quand vous aurez brûlé la fille, vous comprendrez qu’il faut brûler la mère pour ne plus être infesté.

  Mieux : que vous auriez dû commencer par la mère pour édifier la fille et ainsi épargné une vie.

  Vous brûlerez le drapeau tricolore.
  En place publique.
  Nous le ferons ensemble.

  Alors la peur et la honte changeront de camp
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  Sympathisant , 19 août 2013 @ 12 h 21 min

  Franc-maçons en prison ?

  Beaucoup de frères ont un instinct de propriété très fort concernant le produit des impôts présents et à venir
  Une magistrature qui ne serait pas complice les enverrait en prison par charrettes entières
  Sans même les envoyer en prison un système qui tarirait cette pompe à phynances porterait un coup fatal à l’institution, soit au titre de détournement de biens publics, soit au titre des dispositions sur les “bandes organisées”.

  Imaginons un instant que
  – la justice ait une obligation de poursuivre ceux concernés par les affaires mises en évidence par la Cour des Comptes (“ce n’est pas bien”, ou “peut mieux faire” sont des concepts de jardin d’enfant … la République doit mûrir, messieurs)
  – pour les malversations épinglées par la Cour des Comptes les responsables soient présumés être des professionnels compétents plutôt que des politiques incompétents, ce qui ferait traiter les dossiers pour ce qu’ils sont (détournement d’argent public) plutôt que pour ce qu’ils ne sont pas (maladresses de politiques veillant au bien public)
  – suivant la somme en jeu on puisse faire remonter la responsabilité des échecs graves jusqu’au plus haut niveau – comme dans le privé (NDLR : dans les PME, où le patron porte vraiment la responsabilité, pas dans les multinationales, où le patron “malchanceux” part avec un chèque à 7 ou 8 chiffres pour débarrasser le plancher)
  – il y ait prescription de 30 ans et inapplicabilité des clauses de nullité pour cause de faute de procédure, pour permettre à la justice de suivre sereinement son cours, quels que soient les “incidents de parcours” (= artifices de procédure pour retarder le suivi ou annuler les enquêtes ou poursuites)

  Nos zélites, Cahuzac en tête, nous présentent l’impôt comme un devoir civique et la fuite devant l’impôt comme un crime imprescriptible. Il est temps que le même principe s’applique à l’usage qui est fait du produit de ces impôts. Prioritairement.
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  François Desvignes , 19 août 2013 @ 12 h 28 min

  @monhugo

  Vous trouvez pas que le père Boulad et lamethodebronson sont “un poil exaltés” par hasard ?

  Non ?

  Alors c’est que vous avez compris que ce que vit l’Egypte, nous allons le vivre.
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  François Desvignes , 19 août 2013 @ 12 h 40 min

  Ah non Phébus !

  Ils croient dans le G.A.D.L.U.

  ce serait un peu long à epliquer ici et je n’en aurais pas les compétences.

  Mais si le G.A.D.L.U. était le Dieu des chrétiens, ils l’auraient nommé “Dieu” et en aucun cas ne l’auraient affublé du sobriquet de G.A.D.L.U

  S’ils ont nommé leur dieu, G.A.D.L.U c’est parce qu’il n’est pas Dieu et tout ce qui n’est pas Dieu procède de Satan.

  Que les degrés inférieurs de la Franc-maçonnerie pour des raisons alimentaires ne soient pas trop pressés de reconnaitre cette évidence est une chose.

  Qu’ils entretiennent la confusion parce que la confusion sert à leurs yeux leurs intérêts, est une autre chose non moins évidente.

  Mais quelle que soient leurs lachetés ou leurs erreurs, la vérité unique reste : il n’y a qu’un seul Dieu avec un seul nom.

  Tous les autres noms sont les sobriquets de Satan : Allah, le G.A.D.L.U., Marianne.

  Il en a 17 comme cela parce que dans la tradition de la Kabbale, les carrés additionnés de 1 à 17 font 666 (1²+2²+3²+…17²= 666)

  Donc, à chaque fois en politique que vous rencontrerez l’un de ces deux nombres, restez sur vos gardes et surtout ne dites pas que tous se valent parce que tout se vaut.

  Par exemple, lors des élections de 2017.

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