Le côté obscur de Teddy Tamgho

97 Comments

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  Mr POLFORD , 21 août 2013 @ 17 h 00 min

  @ Christiane : il n’est pas question de querelle pour du vocabulaire mais bien plutôt de s’élever pour conserver une liberté d’expression qui me parait singulièrement de plus en plus réduite à notre époque…
  Dans ma jeunesse par exemple, lorsqu’on entrait chez le disquaire et que l’on désirait acheter un ou des disques de musique africaine ou antillaise, ou bien encore du jazz, on disait : “Bonjour Monsieur, je voudrais de la musique nègre, qu’avez vous à me proposer ?” Cela n’offusquait personne car le terme employé était adéquat Aujourd’hui, comment faudrait il formuler la demande ??? A ce sujet d’ailleurs, je précise que je possède encore un vieux LAROUSSE des années 60 dans lequel la définition de nègre n’est absolument pas celle que l’on veut donner depuis quelques temps. Une autre preuve s’il en fallait encore une : vous souvenez vous du nègre BANANIA et de sa devise “Y’ABON” ? Enfin bref, j’ai bien compris que l’emploi de ce mot est aujourd’hui prohibé car censé heurter les âmes bien pensantes adeptes de la pensée unique qu’est le politiquement correct. De ce fait, comme je l’ai dit à Eric Martin, je n’utiliserai plus ce mot qui à mes yeux n’a rien d’insultant.
  Par contre, il est à noter que lorsque nous nous faisons traiter de “face de craie”, “sale blanc” “gaulois” ou autre joyeuseté du même genre, personne ne bronche…
  Pour ce qui est des mots “uraniste” et “sodomite”, j’avoue ne pas comprendre la censure partielle de mon post à ce sujet et c’est la raison pour laquelle j’ai demandé quel était le motif de la suppression de ces deux termes… A ce train là, nous ne pourrons bientôt plus dire qu’un homosexuel est un homosexuel… Alors, quel terme faudra-t-il employer pour qualifier les invertis ???
  Voyez vous, au risque de me répéter, ce n’est pas une querelle de vocabulaire mais bien plutôt une question de libre expression employant des termes exacts pour qualifier certaines catégories de personnes !!!
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  françois préval , 21 août 2013 @ 20 h 11 min

  Vous ne répondez pas à la question, alors soit vous n’avez pas compris, soit vous bottez en touche pour ne pas avouer vos sentiments intimes.
  J’en déduis donc que vous êtes un raciste antiblanc qui ne s’assume pas et je vous considère donc comme illégitime dans ce débat. Et il va de soi que je ne vous considère pas comme un compatriote.

  Et pas la peine de me bassiner avec vos histoire imaginaires de grand-père tués en libérant la France, on me l’a déjà faite. Du reste, les non blancs morts pour la France furent une infime minorité, c’est un fait.
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  françois préval , 21 août 2013 @ 20 h 13 min

  Par racisme antiblanc, j’entends haine raciale vis à vis des blancs de la part de non blancs (noirs et arabes essentiellement). Cette haine existe et est même prédominante dans les populations concernées, c’est tout. Il s’agit d’un constat lucide, le reste n’est que littérature. Recherche une énième définition du racisme ne m’intéresse pas.

  Donc, lorsqu’on sait cela, il ne reste plus qu’à se défendre, effectivement, avec la tête haute.
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  françois préval , 21 août 2013 @ 20 h 15 min

  @Christiane,

  Bien vu, lançons une pétition!
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  Yaki , 21 août 2013 @ 20 h 17 min

  @Eric martin
  Je constate une belle progression sur le terme “pédé”, puisqu’il y a quelques mois, vous ne vouliez pas le supprimer, justement au motif que des homos l’employaient eux-même.

  Encore un effort et vous finirez par reconnaître que les homos peuvent former des “couples” et non des “paires”, ou, à tout le moins, que ce terme est blessant pour les gays et lesbiennes concernés.
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  françois préval , 21 août 2013 @ 20 h 18 min

  Mimoun s’est francisé et converti au christianisme. Ce fut effectivement un modèle, mais pas la norme en Algérie hélas!
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  monhugo , 21 août 2013 @ 20 h 18 min

  Sans oublier la “négritude” d’Aimé Césaire ! Plus couramment, n’oublions pas les nègres en littérature (les Anglo-Saxons faisant eux dans le politiquement correct avec leur “ghostwriter”), voire dans les titres de livres (“Anthologie nègre” ; “La Négresse blonde” ; “Les Nègres” ; “Rue Cases-Nègres”), et les nègres en cuisine (“nègre en chemise”; “tête-de-nègre” – boule de chocolat, voire champignon), en bibliophilie (il existe un maroquin brun foncé employé en reliure s’appelant aussi “tête-de-nègre”), ou dans l’habillement ou l’ameublement (tissu couleur “tête-de-nègre”). Notons cependant que la “tête-de-nègre” chocolatée est devenue plus couramment “tête au choco”..
  Et que “l’Art Nègre” est compris dans les “Arts Premiers”bien-disants, quand la “Revue Nègre” appartient à l’Histoire (années 20).
  Et que Jean-Paul Guerlain fit naguère les frais d’une cabale médiatique en indiquant avoir “travaillé comme un nègre”.
  Et qu’il vaut employer “charabia” que “petit-nègre”. Et éviter “négroïde” (terme pourtant scientifique) – voir le tollé contre l’avis de recherche d’un policier de l’agglomération lyonnaise en 2012 : “..individu de type négroïde porteur d’un casque de vélo..”. “Mongoloïde” ne posant lui aucun problème.
  Restent ceux que l’on peut traiter de “sale Nègre”, sans avoir le CRAN et autres joyeusetés sur le dos, car “Nègre” est leur patronyme (comme Pascal Nègre, le président de la SCPA – “Société civile des producteurs associés”, qui lutte contre le téléchargement illégal ; ou Mireille Nègre, qui passa de l’Opéra de Paris – Première danseuse – au Carmel, un temps).
  Ce qui précède n’est qu’une fantaisie sémantique, évidemment.

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