Le côté obscur de Teddy Tamgho

97 Comments

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  monhugo , 21 août 2013 @ 21 h 28 min

  Marre de me retrouver encore au-dessus du dénommé “d’un nègre”..
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  monhugo , 21 août 2013 @ 21 h 30 min

  Pas votre faute ! Les “Yaki” et autre “d’un nègre” contrarient le fil cohérent général – les “posts” se plaçant de manière erratique, en réponse. Phénomène récurrent. Personnellement, je regarde toujours le “contexte” – indiqué par les date et heure.
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  monhugo , 21 août 2013 @ 21 h 36 min

  Comme “racisme” existe encore dans les dictionnaires, et que ce mot vise “une attitude d’hostilité systématique à l’égard d’une catégorie de personnes”, rien n’empêche que le racisme soit anti-blanc, anti-jaune…
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  monhugo , 21 août 2013 @ 21 h 39 min

  Ou anti-vert à rayures, si quelque ethnie en ce sens venait à être découverte.
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  monhugo , 21 août 2013 @ 22 h 47 min

  La Russie a dépénalisé les relations entre homos adultes depuis 1993 (la France l’avait fait depuis…1791).
  Les “trans” russes peuvent changer depuis 1997 de sexe officiellement, après procédure médicale ad hoc.
  La “majorité sexuelle” pour tous est à 16 ans, depuis 2003.
  La loi de 2013 ne concerne que la propagande LGBT en direction des MINEURS.
  Voilà qui relativise la polémique actuelle des bien-pensants homosexualistes occidentaux, et le mauvais procès victimaire fait à la Russie.
  Le “mariage” pour invertis ne semble pas pour demain en Russie (14 % des citoyens seulement y sont favorables). Il y a même 43,5 % de Russes qui voudraient repénaliser la paraphilie homosexuelle entre adultes…
  Le bon sens vient de l’Est.
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  monhugo , 21 août 2013 @ 22 h 53 min

  En Indonésie, le plus grand pays musulman au monde (90 % de la population, soit 200 millions de personnes environ), l’homosexualité masculine est punie en théorie de 8 ans d’emprisonnement. Ce qui n’empêche pas de trouver en ligne toutes les indications concernant les endroits “gay friendly” d’Indonésie.
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  Frédérique , 21 août 2013 @ 23 h 55 min

  @monhugo
  Une attitude d’hostilité permanente ne suffit pas à créer du racisme. Il faut aussi avoir les moyens de mettre au ban de la société une race, lui retirer des droits, la mettre en état d’infériorité comme la ségrégation raciale aux USA jusque dans les années 60, comme l’Apartheid en Afrique du Sud, l’esclavagisme…, ce qui est légalement impossible en France.
  On a dénaturé le mot racisme pour retirer la légitimité de l’hostilité des Français envers les étrangers, notre peur fondée de perdre notre patrie telle qu’elle existe aujourd’hui, notre peur fondée d’une invasion non guerrière, mais invasion quand même de notre territoire. Si aujourd’hui, on accepte le terme racisme anti-blanc, on accepte par là même le fait que des populations étrangères soient chez nous, chez elles, qu’elles aient les moyens d’y faire régner leurs lois et de se déclarer supérieures à nous. Je ne sais pas si je me fais très bien comprendre, mais pour moi, ce n’est pas là une énième définition du mot racisme comme veut le croire françois préval , mais bel et bien un danger de se faire encore manipuler dans les grandes profondeurs.

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