Cela a commencé avec la substitution des habitants utopistes de la Galerie de l’Arlequin par des allogènes à fort taux de natalité qui ont rejoint la colonie du centre-ville.
Le laxisme de la verdasserie dite “écologiste”, après l’incurie de toutes couleurs politiques, a fait le reste.
Grenoble était le repaire de la mafia italienne, les “beaux mecs” à la Gabin qui traitaient les affaires en grand.
Décadence, décadence… Même la délinquance a dégringolé au niveau des “Julots-casse-croûte”.
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