Occupation pacifique du toit du chantier de la grande mosquée UOIF de Poitiers : décision en appel ce vendredi

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  • jejomau , 19 juin 2020 @ 14 h 02 min

    « Pour autant que la notion de la propriété de la terre n’existait pas, les hommes et les femmes constituaient la seule source de richesse. Leur capture et leur commerce, par la guerre ou autrement, animaient les conflits entre les royaumes », rappelle l’historien Marc Ferro
    (« Autour de la traite et de l’esclavage », Le livre noir du colonialisme, Robert Laffont, 2003).

    Dès les premiers temps de l’islam, des caravaniers arabes puisèrent de nombreux esclaves au Soudan (d’après une expression arabe qui désigne le « pays des noirs ») en vue de les castrer et les revendre au Moyen-Orient ou en Afrique du Nord.

    Des chefs noirs se mirent à leur service. Ils lancèrent des guerres contre leurs voisins et revendirent les prisonniers aux marchands musulmans.

    Il s’ensuivit un trafic de 5 000 à 10 000 esclaves par an en direction des pays musulmans. En témoignage de ce trafic, le mot arabe abid qui désigne un serviteur ou un esclave, est devenu synonyme de noir.

    On estime ainsi cette traite comme étant la lus importante avec environ 17 millions d’esclaves entre le VII° siècle et le XIX°

    Comme on le voit ici, les Blancs ne sont pas en cause…

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