Les chèvres macroniques ont inspiré à un poète de notre Camorra ces vers de mirliton, que l’on chante sur l’air de la Chèvre (qui revenait d’Espagne et parlait Allemand), appris à l’École Primaire il y a longtemps, avant les cours de tam-tam en guise d’éducation musicale :
1
Il était une Chèvre,
Bobo évidemment,
Qui voulait faire campagne
et être au Parlement
Refrain :
Ballotant de la queue
et grignotant des dents
ballotant de la queue
et grignotant des dents
2
Par un beau soir de mai
Passant près d’un ruisseau
Elle fut ensorcelée
Par le chant d’un pipeau
(au refrain)
3
S’avançant sans façon
Au joli bord de l’eau
Elle reconnut Macron
Jouant au pastoureau
(au refrain)
4
Elle adressa ces mots
Au maître réputé :
« Prends-moi dans le troupeau
Pour être députée »
(au refrain)
5
« Eh bien, Caprinidée,
Tu viens à point nommé
Tu seras nominée
Pour me représenter
(au refrain)
6
Le boulot est léger
Au sein de l’Assemblée
Et pour légiférer
Tu n’auras qu’à bêler
(au refrain)
7
Voter béni-oui-oui
Dispense de QI
Les règlements tout cuits
C’est moi qui les fournis
(au refrain)
8
Topons-là je te dis,
Cochon qui s’en dédit. »
Biquette bien nourrie
Vota tous les édits
(au refrain)
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