Pendant quarante ans, Joseph James De Angelo, accusé d’une douzaine de meurtres et d’une cinquantaine de viols en Californie, a échappé à la police. Mais son ADN a fini par le trahir.
C’est une affaire historique. Pendant quarante ans, un tueur en série et violeur a terrorisé la Californie. Il a commis au moins treize meurtres, tous d’une extrême violence, et plus d’une cinquantaine de viols. Malgré des dizaines de portraits-robots, le criminel restait insaisissable. Son vrai visage, son identité sont restés un mystère pendant des décennies.
La généalogie au secours des enquêteurs En avril 2018, l’un des pires tueurs en série de l’histoire des Etats-Unis a été arrêté… devant chez lui. Depuis trente-deux ans, il n’avait pas frappé et il échappait aux enquêteurs. Mais tout s’est accéléré en quelques mois. Grâce à un coup de chance incroyable, à la mode naissante des tests ADN destinés au grand public, et à une méthode révolutionnaire. L’un des plus célèbres “cold cases” a finalement été résolu par un policier… et une généalogiste.