Yeonmi a 13 ans, sa courte vie est déjà marquée par le désespoir. Elle n’a qu’une solution : fuir son pays, la Corée du Nord. Elle ne se doute pas que le chemin vers la liberté va l’entraîner en enfer… Après des années de privations et de harcèlement, par une nuit glaciale, Yeonmi, 13 ans, et sa mère, réussissent à traverser le fleuve Yalu qui marque la frontière entre la Corée du Nord et la Chine. Elles laissent derrière elles leur pays natal et ses horreurs : la faim, la délation constante et surtout une répression impitoyable et le risque permanent d’être exécutées pour la moindre infraction. Mais leur joie n’est que de courte durée. Rien ne les a préparées à ce qui les attend entre les mains des passeurs. Après plusieurs années d’épreuves inhumaines et un périple à travers la Chine et la Mongolie, Yeonmi atteint finalement la Corée du Sud.
À 22 ans, Yeonmi est désormais une combattante : c’est l’une des plus influentes dissidentes nord-coréennes et une activiste reconnue des droits de l’homme.
« L’une des histoires les plus déchirantes, et des plus inspirantes, que j’ai jamais lues. On ne peut plus l’oublier » The Bookseller
*Yeonmi Park est née dans une famille de fonctionnaires en Corée du Nord. Elle a grandi dans un pays où le régime contrôle tout ce que l’on apprend, où l’on va, ce que l’on dit, et même ce que l’on pense. Alors que le pays est victime de la famine, elle s’enfuie avec sa mère et entame un long et périlleux voyage qui les emmène en Chine, en Mongolie, puis en Corée du Sud où elle s’est installée.
Aujourd’hui, à 22 ans, elle est une fervente militante des droits de l’homme très en vue dans le monde entier luttant pour la cause de la population nord-coréenne.
“Je voulais juste vivre” de Yeonmi Park, éditions Kero.