Les homosexuels ont trois fois plus de troubles de comportement alimentaire que les autres hommes

révèle le site américain DaveyWaveyFitness. 42% des hommes qui souffrent de troubles du comportement alimentaire s’identifient eux-même comme homosexuels ou bisexuels et 15% des homosexuels reconnaissent avoir souffert de ces troubles.

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11 Comments

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  • synok , 19 mars 2014 @ 18 h 59 min

    Ben oui évidemment…

  • gerard57 , 19 mars 2014 @ 20 h 43 min

    Leurs troubles et leurs souffrances psychiques sont sans doute plus fortes que celles d’autres personnes, et c’est cela qu’il ne faut pas négliger, tout en n’ignorant pas les douleurs et souffrances des autres.

  • Daniel , 19 mars 2014 @ 20 h 45 min

    Ca explique grandement les diarrhées d’ Hermeneias !

  • Eric Martin , 19 mars 2014 @ 21 h 41 min

    Merci de châtier votre langage ou je serai contraint de vous exclure.

  • synok , 20 mars 2014 @ 8 h 09 min

    @Éric Martin
    Ne vs offusquez pas sur un mot d’humour bien français et lisez-moi donc en refaisant l’histoire…pas seulement dans mon commentaire ci.dessus mais aussi tous les autres sur ce sujet dans son ensemble ce qui comprend aussi l’éducation des enfants …grand merci d’avance d’y prendre le temps .

  • Gisèle , 20 mars 2014 @ 11 h 01 min

    Malheureusement comme toutes les personnes qui ressentent une insurmontable souffrance intérieure due à leur mal – être . La souffrance des * entrailles * .

  • monhugo , 20 mars 2014 @ 12 h 28 min

    Le lien utile est en fait celui-là :
    http://www.sciencedaily.com/releases/2007/04/070413160923.htm
    le site de bodybuilding (ou de “fitness” – ?) ne faisant que le relayer.
    Pas très sérieuse, ladite “étude”, publiée en 2007 – échantillon de 516 new-yorkais. 15 % de l’échantillon, des hommes, avaient souffert (ou avaient présenté des “symptômes”) de boulimie, anorexie et autres “troubles du comportement alimentaire”, et étaient “gay” ou “bi”. Contre 5 % d’hommes, avec la même pathologie (réelle, ou supposée), affirmant être “straight”. D’où le “3 fois plus”… De plus, rien de “significatif” côté filles. Mal ne touchant que les sodomites, “purs et durs”, ou occasionnels ? En relation avec les rapports anaux ?….
    Atterrant ! Rien de “scientifique” évidemment là-dedans ! RIDICULE.
    Côté santé publique, il y a suffisamment à dire avec les Sida, MST, etc.

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