Aldo Sterone est connu des milieux de la « réinfosphère ». Depuis l’intérieur de sa voiture il commente l’actualité ou livre des analyses à propos de l’islam.
Notre homme est fondé à parler de sujets forts sensibles en tant qu’il est sous ce pseudonyme un Maghrébin algérien.
Ses vidéos sont aujourd’hui mises en ligne d’Angleterre, pays où il séjourne après avoir vécu dans bien des démocraties en Amérique, en France ou en Suisse.
Ses dernières sorties portent sur les agressions sexuelles à Cologne et sur « l’immigration de juxtaposition ». Ses interventions cartonnent aussi bien en termes d’audience que de sens du propos.
Il incarne à merveille le vivre ensemble dont nous bassinent les médias. Sauf que quand la propagande nous enjoint de mimer l’âge d’or du multiculturalisme, cachés derrières nos rideaux et téléphone à portée de main pour taper le code police, nous savons retrouver dans son coin de parking un vrai pote maghrébin que nous nous enorgueillirions de voir à notre table.
Nul dogme, nul idéologie chez Aldo. Faits et pragmatisme. Avec une bonne dose d’humanité toutefois, pour cautériser la dure réalité. Son « bonjour les amis » est en passe de devenir aussi célèbre que le « à demain si vous le voulez bien » du regretté Lucien Jeunesse. Au fil des semaines et depuis des années, Aldo égrène ses pensées. Il n’a sans doute pas raison tous les jours, mais sûrement plus souvent qu’à son tour.
Une question lancinante revient chez lui ces derniers temps, question qui habite une dissidence française occupée à en compiler les causes:
Qu’est-ce qui pousse les peuples européens à voter contre eux-mêmes ?
Lui qui a connu le FIS et le GIA dans son pays a de quoi nous renseigner abondamment.
L’homme est fort courageux, car il a une claire conscience du faible prix de sa peau s’il croise un musulman tatillon (ces gens existent).
Pour souscrire à la pensée multiculti et, ainsi, faire plaisir à nos Barbier et Joffrin, si désireux de faire éclore la visibilité des minorités, osons ce mot d’humour et d’humeur: ALDO PRÉSIDENT !
Gageons que nos journalistes patentés ne seraient pas déçus.