“L’islam est une saloperie”, Christine Tasin relaxée en appel!

Ainsi, pour la deuxième fois en un peu plus d’un an je suis relaxée pour de faux procès que l’on me fait et qui me conduisent au tribunal bien que je n’aie jamais bafoué la loi française.

En septembre 2013, après la plaidoirie de Maître Scipilliti, j’avais été relaxée pour l’article où je disais « marre de la violence mahométane exportée sur notre sol« , article pour lequel le Procureur de Lyon avait porté plainte contre moi.

Et aujourd’hui, 18 décembre 2014, après la plaidoirie de Maître Pichon, je suis relaxée pour avoir dit à Belfort que l’islam est une saloperie. C’est une date symbolique, puisque c’est 4 ans jour pour jour après les Assises sur l’islamisation de nos pays qui ont valu à Jacques Philarchein et à Renaud Camus une condamnation au printemps dernier. Tous les espoirs sont permis, il est encore en France des juges qui appliquent la loi, rien que la loi.

Nous ne connaissons pas encore les attendus du procès, mais nous y reviendrons et vous communiquerons les raisons pour lesquels les juges de Besançon, contrairement aux juges de Belfort, m’ont déclarée innocente du chef de provocation à la haine.

J’attends à présent la convocation de la Chambre d’appel de Paris pour la condamnation de la 17ème Chambre, celle du Procureur Chevrier qui a porté plainte contre moi pour outrage à magistrat ainsi que le procès en diffamation intenté contre moi par un certain Ghazli que j’avais quelque peu ridiculisé pour son discours sur les difficultés des femmes chauffeur à la RATP…

Nos ennemis sautent sur le moindre prétexte pour essayer de nous faire taire. Ils savent que, même si nous sommes relaxés en dernier ressort, les frais d’avocat, de procédure, de service d’ordre puisque, lorsqu’on s’attaque à l’islam, on est menacé, écornent nos moyens de continuer la lutte. Mais grâce à nos avocats, grâce au réseau de Résistants nous pouvons continuer, que vous soyez tous vivement remerciés pour les petits et gros coups de main donnés à l’occasion de chaque procès et vos encouragements permanents.

Christine Tasin

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