Dire que Jean-François Carenco, actuel préfet d’Ile-de-France, a un goût prononcé pour la provocation relève presque de l’euphémisme tant ses dérapages sont nombreux. Dernière incongruité en date ? Alors que de nombreuses communes refusent de se voir imposer par l’Etat des centaines de clandestins et sont aujourd’hui au bord de l’explosion, ce proche de Borloo, avec la morgue et le mépris du peuple typiques de l’énarque, n’a rien trouvé de mieux à déclarer au sujet des maires protestataires que « beaucoup gueulent », mais « je m’en fous » !
Ouvrez, ouvrez la porte aux migrants…
Intervenant lors d’une conférence de presse, ce préfet aux méthodes staliniennes a en effet expliqué la semaine dernière qu’il ne comptait pas changer de tactique pour la mise en place des 79 centres d’hébergement attendus en IDF. En effet, a-t-il précisé, « je ne vais pas commencer à en parler six mois à l’avance. Je préviendrai trois mois à l’avance. Après, ce sera à chaque préfet de communiquer ou pas ». Et pas question de traîner, a ajouté Carenco. Car, « si d’autres migrants arrivent, nous les prendrons. (…) Le flux risque d’augmenter ? Ce n’est pas un problème, a-t-il expliqué. Le monde est comme ça ».
Et qu’importe la colère des communes concernées : le préfet s’est dit prêt à « passer outre l’avis des maires ». Car, a-t-il confié, « beaucoup gueulent » mais « je m’en fous ».
Devoir de réserve ? Connais pas !
Il faut dire que Carenco n’est plus à un dérapage près. Invité en 2014 sur la radio Lyon Première, celui qui était alors préfet du Rhône n’avait pas hésité à s’asseoir sur son devoir de réserve en déclarant vouloir combattre le FN « au nom de la cohésion nationale, de l’Europe et de la paix ». Des propos qui avaient poussé ce dernier à rappeler très justement que « le préfet Carenco n’a jamais exercé sa fonction dans la neutralité ». Qu’en 2013, déjà, lorsque sa fédération du Rhône, à la suite d’une nouvelle dégradation de son local, lui avait demandé d’intervenir, le préfet lui avait répondu : « qui sème le vent récolte la tempête » ! Et à demander – en vain – à Hollande de « prendre toutes les mesures qui s’imposent » à l’encontre de Carenco qui, « faisant fi de son devoir de réserve, se mue ainsi en activiste politique ».
Un activisme qui devait même le conduire devant un juge d’instruction pour « injure publique », après avoir déclaré au sujet de manifestants anti « mariage » gay que « la République sera plus forte que ces imbéciles »…
Franck Deletraz – Présent
Pour la démission du Préfet Carenco
Carenco “s’en fout” des opposants aux camps de migrants : Génération Identitaire Paris demande sa démission !
La semaine dernière, lors d’une conférence de presse, le préfet de la région Ile-de-France, Jean-François Carenco, a affiché son mépris devant l’inquiétude soulevée par la question des migrants clandestins du camp de Stalingrad. De sa réponse transpirait un dédain non dissimulé pour ses administrés : « […] Beaucoup gueulent pour la forme. Je m’en fous. […] » et sa volonté de poursuivre son plan de distribution des migrants à travers la région « le plus vite possible » et, si besoin, en « pass[ant] outre l’avis des maires ».
Loin de la démagogie aveugle de M. le préfet, Génération Identitaire Paris est pleinement conscient des enjeux identitaires, sécuritaires et sociaux que représente cette invasion migratoire pour les Franciliens.
Les propos de monsieur le préfet illustrent l’immense déconsidération des élites mondialistes et immigrationnistes pour le peuple français
Génération Identitaire Paris demande la démission du préfet Jean-François Carenco et réclame de son successeur le respect des prérogatives attachées à la mission de prefet : l’application stricte de la loi et donc l’expulsion de tous les clandestins.