Puissants du monde, voyez les signes des temps !
L’homme ne veut pas renoncer au feu de ses armes, il ne veut pas entendre son frère qui pleure. Il n’a pas peur des menaces, il n’a peur de rien et il croit agir pour Moi quand il enlève la vie à son frère. Les frères ennemis n’ont plus besoin de Me prier; ni dans les synagogues, ni dans les mosquées. Je ne les entends plus. Je ne regarde même plus leur cœur, car leur bouche est l’orifice d’un sac de poison, ils prient pour leur gloire et non pour obtenir Ma paix. Je ne les entends plus et le massacre continuera encore. A quoi servent leurs livres saints ? Ils ne me louent que du bout des lèvres.
Mais voici que, pays par pays, vous serez plongés dans des catastrophes plus grandes les unes que les autres. Comme l’enfant qui plonge la main dans son sac de billes, vous attirerez une bille de couleur différente à chaque fois que le temps sortira capricieusement du sac les catastrophes en une suite continue de catastrophes qui transformeront en certains lieux la surface de la terre, et même les profondeurs. Ces bouleversements toucheront également les fonds marins et n’auront de cesse.
Satan occupe déjà presque toute la surface de votre terre. Ne devenez pas son jouet. Hommes, femmes, enfants, vieillards, réveillez-vous. Vous êtes une harmonie de discorde qui tue tout : les plantes, les animaux, les minéraux. J’ai créé les règnes animal, végétal et minéral.
Protégez la nature. Or vous continuez à creuser les routes à travers la nature, vous déplacez l’ordre des structures de Ma Terre et vous n’avez encore rien vu : cela commence par déranger l’ajustement de l’écorce terrestre qui se plaint.
Dieu n’a rien laissé au hasard, et vous êtes en train de casser les bases, les fondements. Et vous vous étonnerez lorsque l’eau disparaîtra ? Les réservoirs de votre terre gémissent déjà d’épouvante contre la désinvolture de l’homme inconscient qui ne cherche qu’à s’enrichir au détriment de tous Mes enfants.
Creusez, creusez, creusez, à quoi servira votre pétrole, richesse qui s’évapore comme rosée au soleil, à quoi serviront vos ponts, vos routes, vos constructions monumentales ?
Vos tours tomberont les unes après les autres, comme ces monts que vous ravagez à leur base. Vos souterrains s’enfonceront de plus en plus sous terre, les voies de communications ne seront bientôt plus que de funestes taupinières qui seront des pièges pour les enfants confiants en l’ingéniosité de l’homme supérieur.
Et Moi, je vous le dis en vérité, les temps que vous vivez sont déjà terminés. Comme la lumière des étoiles déjà mortes vous parvient encore après bien des années, ce temps que vous vivez, Dieu l’a déjà clos dans son Ciel de Gloire où tout est au présent, le Présent éternel de Dieu.
Voici votre dernière espérance : convertissez-vous, il vous reste peu de temps. Car voici vos derniers jours, comme avant le Déluge, comme avant l’extermination de Sodome et Gomorrhe.
Alors je dirai aux montagnes : aplanissez-vous, et aux océans : prenez vos places, mangez ce qui émerge de vos surfaces et étendez-vous sur les rivages qui vous ont retenus prisonniers jusqu’à ce jour.
Alors, comme toute chose qui se déplace produit un remous, et à cause de sa rapidité, il y aura aussi des vents violents, très chauds ou très froids, selon les régions qui seront touchées. Cette inversion du relief géographique était prévue pour plus tard, mais l’homme continue à ne pas respecter Dieu dans toutes ses oeuvres. Il est temps d’arrêter vos machinations infernales, croyant que l’homme peut rivaliser avec Dieu en créant de lui-même une création plus que parfaite et sans âme. Vous en êtes arrivés là !
Alors Je viens pour vous démontrer qu’il n’y a qu’un seul Dieu, le créateur des Cieux et de la Terre, Créateur de tout l’Univers visible et invisible, Créateur de vous-mêmes, hommes de science sataniques, vous M’obligez à agir vite et à crier : C’est assez ! Malheur à celui qui a mis le doigt dans l’engrenage de Ma Création !
Avant, Je changerai l’opulence des uns : ils s’habilleront de sacs, et J’habillerai la Pauvreté de mes propres vêtements. Qui croyez-vous tromper ? Je connais vos cœurs. Vous avez laissé pleurer devant vos portes ceux qui mendiaient votre pain et votre charité : ne pleurez pas sur ce que vous allez perdre, pleurez plutôt sur vos âmes qui se perdent déjà !
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