Pour faire voler ce nouvel avion, des pilotes doivent être formés. Problème : ces formations dépendent d’un accord avec la direction d’Air France, que le SNPL, principal syndicat des pilotes, a refusé de renouveler fin avril. Selon la compagnie, l’immobilisation de l’avion neuf, qui consomme moins que les anciens et peut accueillir davantage de passagers, coûte 2,4 millions d’euros par mois :