Samedi soir, l’académicien Alain Finkielkraut s’est vu contraint de quitter la place de la République après avoir été la cible d’insultes de la part de certains manifestants de “Nuit debout”. Face à cette expulsion, la droite a dénoncé “l’intolérance” du mouvement. La ministre de l’Education nationale Najat Vallaud-Belkacem a elle aussi condamné ces agissements, déclarant qu’elle “se battra jusqu’au bout pour que Finkielkraut puisse dire” ce qu’il a à dire. Chez les manifestants, certains dénoncent une initiative personnelle, dédouanant “Nuit debout” :
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