Tsunami migratoire : la Bavière lance un ultimatum à Angela Merkel

Olivier Bault
18 janvier 2016
Latest Update: 18 janvier 2016 9 h 33 min
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L’hebdomadaire allemand Der Spiegel informait samedi d’une lettre adressée par le ministre-président de Bavière à la chancelière Angela Merkel. Dans cette lettre, le gouvernement bavarois donne 14 jours au gouvernement fédéral pour s’engager par écrit à reprendre le contrôle des frontières du pays. Faute de quoi la Bavière attaquera le gouvernement allemand devant la cour constitutionnelle.

Cet ultimatum est la conséquence d’un rapport commandé par la Bavière à un ancien juge de la cour constitutionnelle allemande. Dans ce rapport, le juge Udo di Fabio confirme qu’en laissant entrer tous les immigrants en situation irrégulière, Angela Merkel et son gouvernement violent la constitution allemande.

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adamastor , 19 janvier 2016 @ 10 h 29 min
Où avez-vous pêché cette nouvelle? Le référendum existe.
marie-france , 19 janvier 2016 @ 11 h 03 min
le prophète terroriste a t ‘il raison de cracher sur les français de souche et les rapatriés ,et encenser ces “algériens “?? si oui,j’ai tout faux selon vous …………je ne crois pas
Romeo , 19 janvier 2016 @ 11 h 11 min
lLe référendum existe vous avez raison mais décidé par qui ?? Sarko avait promis un référendum d’initiative populaire mais, comme le reste, il ne l’a pas fait. Hollande ne fera pas un référendum car il sa
sequane , 19 janvier 2016 @ 13 h 35 min
si j’étais allemand je serais bavarois.
magellan , 19 janvier 2016 @ 15 h 00 min
alors il faut les remettre dans un bateau et qu’ils repartent comme ils sont venus
Tonio , 19 janvier 2016 @ 16 h 18 min
“Sarko avait promis un référendum d’initiative populaire..”

Les bons Suisses de ce “un” que vous dites en ont fait deux:
1) référendum;
2) initiative populaire;

Sarkozy ne pouvait penser à tout; l’aurait-il pu, il n’en aurait pas voulu!

Evidement la Suisse est trop petite pour féconder le moins du monde la grandeur des conceptions de Sarkozy

cf. références partout…
Pascal , 19 janvier 2016 @ 16 h 22 min
Il faut surtout ne pas les accueillir et faire des pressions (il ne faut pas avoir peur d’aller très loin en en faisant de très fortes) sur les pays d’origine pour les obliger à stopper eux-mêmes les départs et à reprendre leurs surplus échoués chez nous.