En septembre, en pleine campagne électorale pour sa réélection, Ahok avait déclaré que l’interprétation par certains théologiens musulmans d’un verset du coran selon lequel un musulman ne doit élire qu’un dirigeant musulman était erroné.
Ses excuses publiques n’auront pas suffi. En Indonésie, le gouverneur de Jakarta, de confession chrétienne, a été inculpé de blasphème.