Nous succombons sous les informations les plus sensationnelles à propos de l’Afrique ! Après avoir été les fondateurs de l’Egypte pharaonique puis de l’Empire Aztèque, voici qu’un chercheur camerounais affirme que les Africains créèrent le royaume de Paekche en Corée entre le IVè et le VIIIè siècles.
“Le Principe de Paekché
ANALYSE NOUVELLE DE L’ANTIQUITÉ EN ASIE DU NORD-EST EN GÉNÉRAL
Le Cas des Trois Royaumes Péninsulaires de Koguryo, Paekché et Shilla
(IV siècle – VII siècle CE)
Résumé.
“Compte tenu de l’absence de questionnement par l’historiographie actuelle sur les Trois anciens royaumes péninsulaires de Koguryo, Paekché et Shilla, je propose le postulat suivant appelé principe de Paekché.
Cette théorie montre que la version actuelle de cette période de l’histoire est un hologramme ayant pour seul et unique objectif : la dissimulation du génocide de Paekché par la Chine de Tang et l’affirmation de sa suprématie.
Après avoir détruit totalement l’Etat de Paekché, les armées chinoises de la dynastie Tang et leurs supplétifs du royaume de Shilla ne laissèrent derrière eux aucun être vivant, ni le moindre indice …
Heureusement la linguistique africaine, ainsi que l’analyse de la région [coréenne] du temple de Sokpulsa, du lieu de sépulture du roi [coréen] Munmu et d’autres lieux historiques connexes soutiennent la thèse que Paekché était de Kémet, d’essence africaine. Ces Kémits créèrent entre 280 et 350 un alphabet plus tard rebaptisé “Hangul”, stimulant ainsi la civilisation africaine la plus brillante dehors d’Afrique.
Structuré comme une loi historique générale et efficace, le principe de Paekché réhabilité le rôle des Kémits et de leur culture comme essentiel et critique dans la création de la civilisation en Asie du Nord-est au cours des 1000 premières années de l’ère actuelle.
Ce principe fournit un cadre théorique par lequel résoudre les principales controverses de l’historiographie telles que : l’identité des hommes et des femmes Paekché, nobles, militaires, ingénieurs, artisans et gens du peuple, géniteurs de clans puissants et fondateurs de l’empire du Japon au cours des époques Kofun et Asuka de Yamato (250-710 CE); la théorie des Guerriers à cheval (Horse Riding Warriors theory) d’Egami Namio; la paternité de l’alphabet Hangul; et bien d’autres interrogations sans réponse définitive dans l’histoire national des Corées, de Chine et du Japon.
Enfin, le principe de Paekché nous permet de caractériser les tensions géostratégiques actuelles entre le Japon et la Chine en pointant et en identifiant leur source originelle, de même que leur nature véritable, afin de préconiser pour ces Etats la condition impérative à la normalisation de leurs relations.”
© BAYEMY BIYICK
16 Juin 2014.