Quand l’une attrape une pneumonie, l’autre est contraint de produire un bulletin de santé expliquant qu’il peut encore tenir 4 ans. Après la jeunesse insolente d’Obama, les candidats américains version 2016 ressemblent à des mules cacochymes. La campagne électorale américaine bat son plein, et dans 2 mois, les USA, ce pays qui nous apporté Kim Kardashian, Jennifer Lopez et Beyoncé, ces dames aux fesses charnues (quand elles veulent s’asseoir toutes les trois, on dispose six chaises), les USA vont élire leur président.
On se souvient des anciens : Bush, qui avait ravagé l’Irak, Clinton, qui avait ravagé la robe d’une stagiaire, c’est le seul président à avoir débordé comme une vieille soupière, W. Bush, qui avait re-ravagé l’Irak, parce qu’entre-temps les gonzes avaient rebâti 4 maisons (les maçons sur place sont en dépression), puis Obama, qui sera bientôt le plus beau retraité du monde, dans les maisons de repos, ça va baver dans les ramequins de semoule.
La fournée 2016 met donc face-à-face deux seniors déjà usés jusqu’à la moelle, à coté Régine c’est Laetitia Milot qui revient de faire son jogging, Hillary Clinton, 69 ans, et Trump, 70.
Hillary, dimanche, a fait un malaise, on l’a vue se figer, tel Stéphane Bern s’il surprenait un touriste chinois en train d’uriner sur un manoir du 15ème siècle, puis elle s’est étalée comme une crêpe, à Landerneau les gens l’adorent. Seulement en pleine campagne, c’est terrible, c’est comme si Sarkozy avant-hier avait convulsé chez Pujadas, d’autant que Léa Salamé, pour ne pas être accusée de complaisance, l’aurait laissé agoniser sur le sol, où dans un dernier râle, il aurait murmuré “Fillon, je vais te faire bouffer tes sourcils”.
Bref, on a diagnostiqué à Hillary une pneumonie, donc on lui a enfoncé un entonnoir dans le gosier, mis dedans 14 cachets à l’heure, résultat en quatre jours elle était debout, depuis elle ne dort plus, et tourne sur elle-même en essayant de se mordre la cheville gauche.
Ces quelques jours de convalescence ont semé le doute chez l’électeur…