Ça discute beaucoup depuis hier soir du passage « de justesse » du vote de confiance à Valls.
Que Christophe Barbier se pignole sur « la République qui a retenu son souffle », normal, c’est son boulot. Mais que des prétendus « dissidents » tombent dans le panneau, c’est plus problématique.
Petit rappel : même si la Constitution ne l’y oblige pas, en cas de refus de confiance, Valls n’aurait pas vraiment eu d’autre choix que de démissionner, ou Hollande de dissoudre l’Assemblée .
En cas de législatives, la majorité actuelle serait très probablement balayée. Pourquoi donc les députés PS prendraient-ils le risque de perdre trois ans de salaire (à 10 000 euros net par mois) ? Évidemment, tout cela est du théâtre. Il n’y a jamais eu de menace sur Valls et les pseudo « dissidents » qui pensent le contraire sont navrants.
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