Déja interrogée sur France Info, le 14 juillet, sur le fait qu’elle soit l’auteur de livres salaces signés Marie Minelli, la secrétaire d’Etat s’est encore défaussée ce jour, ce qui est inadmissible!
Etant notre salariée, nous avons le droit savoir ce qu’il en est.
Sa nomination ne lui confère pas tous les droits, bien au contraire.
Cette obstination est en fait un aveu qui devrait la conduire à la démission.
Sa seule compétence objective n’étant que de causer très bien le charabia, nous imposer tel personnage au gouvernement est édifiant quant à la déliquescence du gouvernement Macron.
Voici ce que rapportait L’Express: ” Marie Minelli publie en 2014 un roman encore plus hardi, Sexe, mensonges et banlieues chaudes, toujours à La Musardine. L’histoire: une jeune héritière de Neuilly-sur-Seine tente d’échapper à sa triste condition en s’encanaillant en Seine-Saint-Denis. L’intrigue et les scènes de sexe explicites enfilent les clichés comme des perles.
Si, à en croire le Canard Enchaîné, les ministres s’échangent déjà sous le manteau Osez l’amour des rondes, il est probable qu’ils se passionnent bientôt pour les passages les plus pimentés de Sexe, mensonges et banlieues chaudes. Voici un extrait très “girl power” :
“Je glisse entre mes dents, à mi-voix:
“Vas-y bouffe moi la chatte.”
Il n’entend pas.
Je réitère plus fort:
“Bouffe-moi la chatte, Amaury!”
Il s’exécute, ajoutant de la vigueur à ses mouvements de tête. Ses cheveux me chatouillent délicieusement le ventre, et comme il lèche un côté de mon sexe, je lui lance:
“Applique-toi, bordel! Au centre ! Sans déborder!”
Il lève un oeil interrogateur, puis fait, la bouche pleine: “Oui, Maîtresse.” ”
Si l’on ajoute les ouvrages très osés publiés sous le nom de Marlène Schiappa ceux publiés par Marie Minelli, l’on peut saluer la profusion mais aussi l’obsession et un “palmarès” incompatibles avec ses fonctions. Elle n’est plus audible, ni crédible.
N’ayant toujours rien trouvé d’aussi pertinent, en conclusion nous reprendrons encore l’excellent descriptif de Vincent Castagno dans le magazine Causeur: “Marlène Schiappa s’exprime à l’aide d’une voix sortie de la région supérieure des naseaux, émettant en continu des fréquences suraiguës qui pourraient être celles d’un violon démantibulé auquel il ne resterait plus qu’une corde. Le vacarme est éprouvant. D’autant qu’il arrive qu’il forme des mots qui eux-mêmes semblent former des phrases où l’on repêche çà et là ce qui pourrait bien être des idées. Le pêcheur débutant y débusquera sans difficulté des velléités néo-féministes et de vagues concepts marketing, flottant à côté de vieilles rengaines anti-islamophobes que suit la nuée de poncifs antichrétiens de rigueur. Surnagent aussi, dans cette mare sonore, ses conseils de savoir-vivre destinés aux femmes obèses, plus deux ou trois soupçons de pensée, peut-être davantage, que je n’ai pas réussi à identifier.