Ce qui s’est passé en Gironde est très, très inquiétant. Des perquisitions chez le père, le grand-père et la compagne d’un… homme appartenant à « l’Ultra-droite violente ». Bigre, on a dépassé ici le stade de l’extrême droite…
Qui était ce dangereux personnage ? Un djihadiste de retour de Syrie ? Que nenni.
Un militant islamiste repéré sur les réseaux sociaux pour son activisme ? Que nenni.
Un ami et adepte de Mohamed Merah clamant à tout va qu’il allait imiter ce dernier ? Que nenni.
Un musulman se passant en boucle les prêches de Qaradawi, ceux de l’imam de Brest incitant à considérer comme des porcs et des singes ceux qui écoutent de la musique et les discours de Tarik Ramadan incitant les musulmans à ne pas s’intégrer ? Que nenni.
Un musulman jouant de la machette pour interdire à ses filles de gagner leur vie ? Que nenni.
Bien pire que tout cela : le quidam avait, en 2012, jeté, de nuit, un pauvre cocktail molotov contre les murs d’un mosquée…
L’histoire ne dit pas si Christophe Lavigne a été dénoncé par de bons amis ou s’il était aussi étroitement surveillé que Merah, Coulibaly, les Frères Kouachy ou Yassin Salhi …
En tout cas, les policiers ont fait bonne pioche, confisquant une trentaine d’armes et 200 kilos de munition, dont quelques-unes pas déclarées.
J’ignore évidemment si le père et le fils étaient des collectionneurs dans l’âme ou s’ils avaient pris quelques précautions pour le cas où un jour une guerre (défensive ou civile, peu importe son nom) éclaterait, à cause de l’incurie et de l’islamo-collaboration de nos gouvernants, de la préférence étrangère et de la politique migratoire intensive que nous subissons.
En tout cas, une chose est sûre : l’Etat d’urgence n’est pas fait pour mettre hors d’état de nuire des terroristes musulmans, il est destiné à empêcher les paisibles citoyens de notre pays de se défendre « au cas où ».
Et c’est gravissime.
A l’heure où le trafic d’armes de guerre bat son plein dans les cités islamisées protégées par la crainte des émeutes, les perquisitions de Dordogne sont une honte. Et révèlent les arrière-pensées de la horde barbare qui s’abrite derrière les murs de l’Elysée, de Matignon et de la Place Bauveau.
A l’heure où l’on fait une affaire d’état de la garde biterroise de Ménard, simple tour de garde de citoyens vigilants désarmés en lien avec la police, les perquisitions de Gironde montrent, de façon éclatante, la préoccupation majeure de ce gouvernement d’usurpateurs : permettre, de gré ou de force, l’islamisation de notre pays, le remplacement de population et rendre impossible toute révolte citoyenne qui appliquerait l’un de nos textes fondamentaux : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs » (Article 35 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen, et préambule de la Constitution du 24 juin 1793).
Alors, amis Résistants, vous êtes dans l’œil du cyclone, rien ni personne ne peut vous préserver de l’arrivée des forces de l’ordre au petit matin pour vous voler votre ou vos armes de chasseur ou de tireur sportif respectueux de la loi.
Il faut le savoir.
Mais cela ne change rien. Rien ni personne n’empêchera les Français de se révolter et/ou de se défendre. La menace d’attentats est chaque jour plus prégnante, nos dirigeants nous disent que nous sommes en guerre, les émeutes et agressions dont des « migrants » sont responsables se multiplient en Europe et les attaques contre notre patrimoine, notre héritage et nos valeurs sont légion.
Et les patriotes resteraient bras ballants ? Et les patriotes laisseraient violer et assassiner leurs filles ? Ce n’est ni possible ni envisageable.
Avec toutes les mosquées à protéger contre des jets de jambon, Cazeneuve pourra-t-il faire perquisitionner les maisons de plus de 60 millions de Français ? Pourra-t-il trouver et confisquer plusieurs millions d’armes non déclarées héritées de militaires ou de chasseurs de la belle époque où l’on pouvait s’armer sans problème, cachées au fond des chaumières de leurs descendants ?
Et puis, et puis, surtout, les Français ont déjà fait une révolution à la fourche et l’ont remportée malgré les armes et les canons des Suisses, gardiens de Louis XVI…
Et puis encore, quand on commencera à se battre, les armes de nos ennemis changeront de main…
Et chacune de nos maisons contient couteaux, pelles, pioches, tournevis, produits chimiques possiblement détonants…
Bref, les patriotes sont certes menacés mais ils ont les yeux ouverts et ils sont déterminés. Malgré les kalachnikov.
Petite remarque finale. Entre 1940 et 1945, les policiers n’avaient pas le choix, ils devaient faire leur boulot et arrêter les juifs au petit matin… Sauf qu’un certain nombre d’entre eux prévenaient ceux qu’ils devaient arrêter la veille ou quelques instants avant l’instant T.
On peut faire son boulot mais être patriote et ne pas participer à une immonde entreprise consistant à faire des Français des victimes ligotées, offertes en sacrifice aux conquérants
Christine Tasin – Riposte laique