Maison de vacances squattée, propriétaires interdits d’entrer chez eux

Une famille de la région parisienne passe habituellement ses vacances d’été à Montchauvet dans le Calvados. Mais cette année, ce ne sera pas possible : la maison est occupée par des squatteurs. La famille a porté plainte mais la loi n’est pas de leur coté et ils n’ont pas le droit de pénétrer à l’intérieur sous peine d’être accusés de… “violation de domicile” :

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54 Comments

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  • penelope , 18 juillet 2015 @ 10 h 31 min

    le proverbe dit vrai”de l’étranger ils viendront,de chez nous ils nous chasseront”;vive la mondialisation et le vivre ensemble que loue Lemaire;ils devrait savoir que lorsque reçois quelqu’un,on ne l’envoie pas chez le voisin,on assume.

  • Bardamu , 18 juillet 2015 @ 10 h 37 min

    Personnellement, si cela arrivait dans ma famille ou chez des amis, je suis assez vieux pour risquer quelques années de prison en allant déloger manu militari les indésirables et proclamer au tribunal que la loi française est ignoble.

  • Marino , 18 juillet 2015 @ 11 h 32 min

    Les squatteurs, entrés par voie de fait dans un logement, sont la hantise des propriétaires d’un bien vacant.

    Bien qu’ils occupent l’appartement ou la maison sans droit ni titre, il est souvent peu aisé de les faire partir rapidement. Si le logement a été squatté il y a moins de 48 heures, il faut immédiatement prévenir la police qui va se déplacer sur les lieux et déloger par la force les intrus. Au-delà du délai de 48 heures, les forces de l’ordre ne peuvent plus intervenir directement.

    Dans la pratique, les propriétaires sont rarement informés de l’arrivée des squatteurs dans les deux jours où l’événement s’est produit.
    Par ailleurs, il est possible que les squatteurs aient anticipé leur venue en ouvrant un contrat EDF ou en envoyant des courriers à l’adresse (le cachet de la poste faisant foi) où ils s’installeront quelques jours plus tard, se ménageant ainsi des preuves pour justifier qu’ils habitent le logement depuis un certain temps.

    Pour échapper au squat d’un logement, mieux vaut ne pas le laisser vacant trop longtemps. Cette solution n’est pas toujours facile à mettre en œuvre, surtout si vous êtes propriétaire d’une résidence secondaire occupée quelques semaines par an ou si un appartement est vide entre deux locations ou dans l’attente d’une vente après un décès, par exemple.

    Prenez alors quelques mesures de précaution élémentaires en sécurisant l’habitation. Faites blinder la porte d’entrée. Vous pouvez aussi opter pour une serrure multipoints, ajouter un verrou supplémentaire ou même faire poser une alarme.
    Misez sur la bonne entente avec vos voisins. Ils pourront être les premiers à vous avertir s’ils constatent une effraction dans le logement. Pensez à leur demander de relever votre courrier pour éviter que votre boîte aux lettres ne déborde et signale ainsi une absence d’occupation.

  • Ampelius , 18 juillet 2015 @ 11 h 54 min

    Cela dit nabot ou pas nabot Chirac en est un politiquement malgré sa taille et son allure , cessez de jouer les mijaurée et souvenez vous de la phrase de Marie-France Garaud, pourtant conseillère de Chirac:” je le croyais du marbre dont on fait les statues en réalité il est de la faïence dont on fait les bidets”

  • lagode , 18 juillet 2015 @ 12 h 31 min

    de droite, ou de gauche, tous des pourris! seuls les électeurs qui les ont mis au pouvoir, on de la merde aux yeux, et ont avalés toutes leurs conneries! mais, ce n’est pas grave, ils revoterons encore pour eux. pourquoi? parce-que: quand on nait con, on reste con!

  • ladelphinette , 18 juillet 2015 @ 12 h 32 min

    C’est pas beau Marie France de se moquer de la taille des gens … d’autant que le successeur a la même taille, en plus mal fagoté, ignorant la simple politesse, mufle à l’occasion de la “destitution” et du renvoi de la (hum) première dame de France (j’ai décidé …) !!!

  • nauticat , 18 juillet 2015 @ 13 h 10 min

    bonjour Bardamu ,idem pour moi ,avec un petit supplément : le vieil acabit ayant fait partie des régiments dissidents * en AFN ,catalogué comme “susceptible de ….” auprès des forces de l’ordre ; il y aurait comme une hésitation s’il fallait venir m’interpeler .
    * Même si au moment de la révolte des Généraux j’étais déjà démobilisé .comme dit l’autre : j’étais susceptible de penser pareil ….ce qui entre nous était vrai !

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