La photo du jour : Une femme empêchée de dire son opposition à la loi Taubira sur les Champs

La photo infra prise par Louis Witter montre une policière plaquant sa main sur la bouche d’une manifestante opposée à la loi Taubira pour l’empêcher de crier ses slogans dimanche 14 juillet 2013 sur les Champs :

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58 Comments

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  • Gisèle , 18 juillet 2013 @ 23 h 08 min

    Moi j’aurais éternué ! ou fait mine de vomir !

  • Louis A. F. G. von Wetzler , 19 juillet 2013 @ 1 h 24 min

    Je voudrai m’excuser, je ne sais pas combien de vous parle ou peut lire l’anglais, pour moi c’est presque impossible à faire une traduction. De toute façon je crois que cette article publiée en Angletterre sur une de plus vielles familles de France, et leur point de vue aujourd’hui sur le 14 de juillet, comme la loi Taubira, sont plus qu’ interesantes. J’espère qu’il a quelqu’un ou quelqu’une qui pourra le traduire à la très belle langue de Molière, alors mes amis et amies je vous laisse avec Monsieur Pierre-Louis et Madame Sabine de La Rochefoucauld, le duc et la duchesse d’Estissac, et duc et duchesse de Liancourt

    Because he was grand master of the royal wardrobe, the presence of François Alexandre Frédéric de La Rochefoucauld was required when Louis XVI dressed in the Palace at Versailles. One morning 224 years ago – some accounts place it before the storming of the Bastille, others immediately after – the king asked de La Rochefoucauld if it was true there was a revolt in Paris.

    “No, majesty. It is not a revolt; it’s a revolution,” de La Rochefoucauld replied. He was the first to define the founding event of modern French history.

    No notice
    De La Rochefoucauld’s grandson, nine generations removed, Pierre-Louis de La Rochefoucauld, duc d’Estissac, lives a block away from the Champs-Élysées, where the French republic will celebrate its revolution tomorrow. This year, as every year, the duke, aged 65, will pay it no notice. “We had to run away, hide or get killed,” he says. “It’s not a date I want to remember.” The family has proof of its lineage for the last 1,000 years, back to Foucauld the 1st in 1009. In the 17th century, François VI, duc de La Rochefoucauld, became a famous writer of maxims and memoirs, whose pithy observations on human folly are still quoted today.

    More than 15 de La Rochefoucaulds were guillotined in the revolution. The present-day scion has a special fondness for Pierre-Louis de La Rochefoucauld, Bishop of Saintes. “Because I bear his name, I feel close to him.” The duke never passes the intersection of the rue d’Assas and Vaugirard without thinking of his namesake, who was detained in a Carmelite chapel there with 150 other clergy on September 2nd, 1792.

    “They were ordered to recognise the new status of the church under the revolution,” the duke recounts. “All of them said No. One by one, they were shoved into the garden where dozens of ‘patriots’ fell upon them, killing them with hammers and knives.”

    Pierre-Louis de La Rochefoucauld was declared a blessed martyr in 1920. He would have been canonised, the duke believes, had the church not been intimidated by the government. “In France, the legal government considers that the revolution was a marvellous thing,” he says bitterly.

    There are fewer and fewer practising Catholics in France, the duke admits. “If you go into a church, you see people like me. Chivalry was the basis of the old nobility, and the Catholic faith is the basis of chivalry. Throughout Europe there are families like ours. I especially admire the Habsburgs. They’re the most fervent, almost mystics.”

    The duke is “not at ease” in street demonstrations, but he nonetheless marched twice last winter, against the law that legalised same-sex marriage. The demonstrators were “happy and sympathiques, but I was horrified by the behaviour of the police”.

    The socialist education minister Vincent Peillon holds a doctorate in philosophy, and published a book, The French revolution is not over, in 2008. Peillon is a bugbear of religious conservatives, who accuse him of wanting to abolish gender differences and impose his “atheist ideology”.

    The duke sees the present government as modern-day Jacobins. “Peillon says ‘we’ when he talks about the revolution. He believes that as long as the Catholic Church exists ‘we’ will not have won entirely,” he explains.

    The duke “worked in property”. His wife, the duchess Sabine, does public relations for the Louvre. Their name has been an advantage in those professions. Many French people, for example around the family château at Combreux, respect their role in history, he says. Others are hateful, like the jealous colleague who once told his wife, “I thought they guillotined you all in the revolution.”

    France’s surviving 6,000 aristocrats struggle to slow the erosion of their property and traditions. The duke goes stag-hunting often, in the forest of Orléans. Nearly every year, he says, he and fellow hunters have to stave off some draft law seeking to ban it.

    ‘Closed circle’
    The duke’s father was president of the 1,200-strong, all-male Jockey Club, which Marcel Proust described as the most closed circle in the world. Liveried servants still address members by their titles. “We have a principle; one doesn’t come to the Jockey to do business,” the duke says.

    Unlike the British aristocracy, French nobles have largely shunned commerce – and marriage outside their milieu. “The Anglo-Saxon expression, ‘to make money’ – I find it horrible, horrible. And I am not alone.”

    He particularly objects to fortunes amassed in finance, because it produces nothing real – probably the only sentiment he shares with president François Hollande.

    Sat, Jul 13, 2013, 01:00

    First published: Sat, Jul 13, 2013, 01:00

  • Gisèle , 19 juillet 2013 @ 10 h 02 min

    Parce qu’il était grand maître de la garde-robe royale, la présence de François Alexandre Frédéric de La Rochefoucauld est requise lorsque Louis XVI habillé dans le Palais de Versailles. Un matin de 224 ans – certains comptes placer avant la prise de la Bastille, d’autres immédiatement après que, le roi a demandé de La Rochefoucauld, que si c’était vrai il y avait une révolte à Paris.

    “Non, Majesté. Il ne s’agit pas d’une révolte ; C’est une révolution”, a répondu de La Rochefoucauld. Il a été le premier à définir l’événement fondateur de l’histoire française moderne.

    Aucun avis
    Petit-fils de La Rochefoucauld, neuf générations enlevés, Pierre-Louis de La Rochefoucauld, duc d’Estissac, vit un pâté de maisons des Champs-Élysées, où la République française fêtera sa révolution de demain. Cette année, comme chaque année, le duc, 65 ans, va payer il sans préavis. « Nous avons dû fuir, se cacher ou se faire tuer », dit-il. « Il n’est pas une date, que je veux me souvenir. » La famille a la preuve de son ascendance pour les 1000 dernières années, retour à Foucauld la 1ère en 1009. Au XVIIe siècle, François VI, duc de La Rochefoucauld, est devenu un écrivain célèbre de maximes et de mémoires, dont les observations concies sur la bêtise humaine sont toujours citées aujourd’hui.

    Plus de 15 de La Rochefoucaulds ont été guillotinés à la révolution. La scion actuelle a une prédilection particulière pour Pierre-Louis de La Rochefoucauld, évêque de Saintes. « Parce que je porte son nom, je me sens proche de lui. » Le duc ne passe jamais sans penser à son homonyme, qui a été arrêté dans une chapelle des Carmes il avec 150 autres clergé le 2 septembre 1792 l’intersection de la rue d’Assas et de Vaugirard.

    « Ils ont été condamnés à reconnaître le nouveau statut de l’église sous la révolution, » raconte le duc. « Chacun d’eux a dit n un par un, ils ont poussé dans le jardin où des dizaines de « patriotes » tombèrent sur eux, tuant de marteaux et de couteaux. »

    Pierre-Louis de La Rochefoucauld fut déclarée bienheureux martyr en 1920. Il serait ont été canonisé, le duc croit que, si l’église n’avait pas été intimidée par le gouvernement. « En France, le gouvernement légal estime que la révolution était une chose merveilleuse, » dit-il amèrement.

    Il sont moins nombreux et moins pratiquants en France, admet le duc. “Si vous allez dans une église, vous voyez des gens comme moi. Chevalerie était la base de la vieille noblesse, et la foi catholique est à la base de la chevalerie. Dans toute l’Europe il y a des familles comme la nôtre. J’admire surtout les Habsbourg. Ils sont les plus fervents, presque mystiques. »

    Le duc n’est “pas à l’aise” dans les manifestations de rue, mais il marcha néanmoins deux fois l’hiver dernier, contre la loi qui a légalisé le mariage homosexuel. Les manifestants étaient “heureux et onesto, mais j’ai été horrifié par le comportement de la police”.

    Le ministre de l’education socialiste Vincent Peillon est titulaire d’un doctorat en philosophie et publié un livre, The French revolution n’est pas fini, en 2008. Peillon est un épouvantail des religieuses conservateurs, qui l’accusent de vouloir abolir les différences entre les sexes et d’imposer son « idéologie athée ».

    Le duc voit dans l’actuel gouvernement Jacobins de moderne-jour. “Peillon dit « nous » quand il parle de la révolution. “Il croit que tant que l’église catholique existe ‘nous’ n’auront pas gagné tout à fait, explique-t-il.

    Le duc « qui a travaillé dans la propriété ». Son épouse, la duchesse de Sabine, fait des relations publiques pour le Louvre. Leur nom a été un avantage dans ces professions. Beaucoup de gens français, par exemple autour du château familial à Combreux, respecte leur rôle dans l’histoire, dit-il. D’autres sont haineuses, comme le collègue jaloux qui une fois dit à sa femme, « J’ai pensé qu’ils vous guillotiné tout dans la révolution. »

    France de survivre 6 000 lutte aristocrates pour ralentir l’érosion de leur propriété et leurs traditions. Le duc va souvent, chasse au cerf dans la forêt d’Orléans. Presque chaque année, dit-il, il et collègues chasseurs doivent repousser certains projet de loi visant à l’interdire.

    « Cercle fermé »
    Père du duc a été président du Club Jockey 1 200 hommes, tous les hommes, dont Marcel Proust décrit comme le cercle plus fermé au monde. Siglée serviteurs encore membres de l’adresse de leurs titres. “Nous avons un principe ; “On ne vient pour le Jockey pour faire des affaires, dit le duc.

    Contrairement à l’aristocratie britannique, les nobles français ont largement boudé commerce – et mariage à l’extérieur de leur milieu. « L’expression anglo-saxonne, “à faire de l’argent – » je trouve cela horrible, horrible. « Et je ne suis pas seul. »

    En particulier, il s’oppose à la fortune amassée en finance, parce qu’elle ne produit rien de réel, probablement le seul sentiment qu’il partage avec le Président François Hollande.

    Samedi 13 juillet 2013, 01:00

    Publié: samedi 13 juillet 2013, 01:00

  • Daniel , 19 juillet 2013 @ 11 h 14 min

    Monsieur Grouker René,

    Vous nous ennuyez tous avec vos interventions, si bien que si on y prête attention, c’est vous même, et vous seulement, qui êtes arrivés à vous disqualifier tout seul, puisque plus personne n’ose vous répondre, surtout lorsque vos interventions reflètent votre obsessionnelle folie à mon égard, ce qui n’intéresse, en réalité, personne.

    Et comme personne ne semble devoir prêter d’attention à votre cause perdue, vous prenez tout le monde à partie en qualifiant tous les participants et commentateurs de ce site pour des imbéciles, je vous cite “llustration de la bêtise incommensurable de cette classe sociale qui sera toujours prise pour des imbéciles par les De Gaulle,Sarkozy,Barjot ”

    Cela serait intéressant d’avoir l’avis éventuel du webmaster sur ce sujet, ne vous en déplaise, Monsieur Grouker. Il semble que les dernières interventions soulignaient que si aucune injure ou propos racistes ou insultants devaient proliférer entre commentateurs, il était louable que vous jouiez séparément, en dehors de nos plate-bandes respectives, ce que votre naturel ” revenant si rapidement au galop”, pour ne pas trop vous citer une nouvelle fois, n’a eu de cesse de réitérer.

    Pourquoi n’allez vous pas chercher un autre site ou d’autres personnes à harceler ?

    Quand aux vantardises concernées, je vous ai proposé un entretien personnel et de visu pour les mettre en application, mais apparemment vous appliquer les mêmes méthodes de ces insectes nommés cancrelats : vous vous cachez à l’ombre.

  • degabesatataouine , 19 juillet 2013 @ 18 h 18 min

    Je ne peux pas résister, l’espace d’un instant je reviens car ça mérite une réponse à une aimable invitation de Daniel :
    “je vous ai proposé un entretien personnel et de visu”

    Mais l’entretien doit être équilibré.Que puis je faire, moi tout seul ,face à un homme qui déclare et qui peut en douter :
    ” Même face à 50 CRS, je vous parie 10 millions d’euros que pas un seul d’entre eux n’osera s’avancer vers moi.”?
    D’ailleurs il ne dit pas que 51 ou 55 ou 100 ou même plus, oseraient s’avancer.
    Pour un combat égal que Tartarinsky,pardon Tartarinski le Polonais me prête sa machoire, ou même la moitié ce devrait être suffisant en me laissant une bonne marge car je ne suis pas Samson.
    (Pour ceux non familiers avec leur héritage judeo-chrétien, sachez que Samson armé d’une machoire d’âne a défait 1.000 Philistins et ils étaient tous au moins du gabarit d’un Crs normal,et armés de surcroît.)

    Bon je me tire pour de bon.Les pantalonnades avec un malade si ça amuse Eric Martin,pour moi c’est le sentiment amer,une fois l’irritation passée, de tirer sur une ambulance.Et pour quel public, hélas.
    Amusez vous bien sans moi.Et n’oubliez pas votre machoire d’âne personnelle à la prochaine Manif.Dans vos entourages “bien élevés” ce ne doit pas être difficile à vous en faire prêter .

  • Daniel , 19 juillet 2013 @ 18 h 43 min

    “Je ne peux pas résister” : effectivement, votre idiotie vous surpasse, vous en oubliez le contrôle de vous même.

    “Mais l’entretien doit être équilibré” : c’est vrai qu’on ne devrait nullement toucher aux majeurs incapables, vu qu’ils sont déjà fort bien indisposés par mère nature.

    “D’ailleurs il ne dit pas que 51 ou 55 ou 100” : chez vous ce sera 51, vu que vous composez souvent en état d’ébriété

    “pardon Tartarinski le Polonais me prête sa machoire” : ce dont vous auriez besoin, à première vu, c’est d’abord louer un nouveau cerveau. Le votre est il devenu caduque du fait de l’âge ou l’aigreur, ou les deux, qui sait.

    “Bon je me tire pour de bon” : FAUX, on parie 100 balles que vous ne pourrez pas résister une nouvelle fois à venir nous pourrir la vie, soit en utilisant un autre pseudo, soit en passant par une autre IP ou un autre proxy.

    “Les pantalonnades avec un malade” : serait ce le diagnostic du fou, du clown ? Vous devriez profiter des temps encore cléments de la sécurité sociale française pour vous faire analyser, un bon divan vous sera bien plus utile que votre clavier.

    ” Amusez vous bien sans moi. ” Ben voyons, personne n’y croit .Si cela devait être vrai, je sens comme une brise d’air frais arriver….enfin nous pouvons commencer à respirer

  • Louis A. F. G. von Wetzler , 19 juillet 2013 @ 20 h 19 min

    Ah Gisèle vous êtes d’une gentillese unique, merci mille fois, de tout coeur, je vous souhaite tout le bonheur, une vrai grande dame, a bientôt votre LvW

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