Un Hommen se fait casser une côte par les forces de l’ordre

Eric Martin
17 juin 2013
Latest Update: 17 octobre 2017 17 h 22 min
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Reçu par courriel, ce témoignage de Paul, jeune Hommen de 17 ans violenté par les forces de l’ordre :

“Le jour de l’opération Hommen sur la rue de Rivoli, j’ai été victime des forces de police. Nous avions entrepris de rester pacifiquement assis par terre avec les autres quand, soudain, les policiers décidèrent de nous enlever de la route par la force. Un policier commence à enlever mon ami je me suis empressé de le ramener au près de moi. Cela m’a valu un coup de matraque dans le bras ainsi que d’autres dans les cotes. Pour me protéger je me suis recroquevillé sur moi même, c’est alors qu’un policier a glissé sa matraque sous mon bras et m’a soulevé violemment. J’ai senti une énorme douleur et j’ai hurlé mais rien n’y a fait. il a continué. J’ai été bien longtemps après chez le médecin, croyant que les douleurs passeraient. Compte-rendu médical : une côte cassée et une côte déplacée, risque de pneumothorax, entorse au coude et à l’épaule, pour être resté assis Rue de Rivoli…”

Contacté par Nouvelles de France, Paul indique que son père n’a pas souhaité porter plainte, convaincu qu’elle n’aboutirait pas.

Article légèrement remanié après consultation des pièces médicales que voici :

Des photos du corps de Paul après les violences policières :

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esprit libre , 17 juin 2013 @ 21 h 48 min
Que veut dire cette phrase ?
“Et puis quand c’est interdit, on accepte ce type de risque..”

Vous voulez postuler au Ministère de Manuel Gaz ?
Pathos , 18 juin 2013 @ 0 h 32 min
Plainte avec constitution de partie civile, donc au pénal, le parquet ne peut donc pas classer l’affaire et est obligé de faire son boulot… Car les plaintes simples sont souvent classées

Parallèlement il peut lancer une plainte auprès de l’Inspection générale de la Police nationale (IGPN)….

ne pas hésiter à demander de l’aide aux avocats de la manif, ils aident les militants violenté
s bénévolement…
Pathos , 18 juin 2013 @ 0 h 40 min
Cette gauche pourrie par son idéologie nauséabonde à pendant des décennies encouragé le “harcèlement démocratique”, la “désobéissance civile”‘ etc…

Ce pouvoir de chiottes est paniqué car contre toute attente, cette France silencieuse qui ne bronchait pas et s’exécutait docilement, depuis des décennies, à subitement fait front, s’est redressée, fière, refusant les délires de ces idéologues pervers et psychopathes !… Le mouvement dure depuis plus de 8 mois et ne s’essouffle pas… Du jamais vu ! De plus, de nouvelles actions sont inventées pour rendre ce pouvoir encore plus mal à l’aise… Malgré plus de 500 militants embarqués en garde à vue, ils ne lâchent rien… Pire, ça les renforce dans leur combat
Sceptique , 18 juin 2013 @ 5 h 58 min
Il a un gros bleu quoi, franchement ca arrive souvent ce genre de chose et si tu as peur ne vas pas manifester
Delaye , 18 juin 2013 @ 8 h 22 min
Peut-être faut-il porter plainte aussi auprès de Bruxelles.
Tirebouchon , 18 juin 2013 @ 11 h 33 min
N’hésitez à publier toutes les photos et films impliquant ces policiers et gendarmes….il seront bien un jour reconnus par un voisin, un membre de leur famille, un collègue jaloux ou plus humain, une femme revencharde, une peite amie remplacée…. leur adresse, leurs habitudes seront connues….Peut-être qu’un mur des cons sur le net reste à créer dans un pays ou Pinocchio-Valls n’aura pas le pouvoir de censure…et ou on le prend pour ce qu’il est un connard de première au service de ses MAÎTRES….

Si ce mur des cons existe ou existera il faudra donner le lien sur NDF
Anne Lys , 18 juin 2013 @ 12 h 22 min
Il faut effectivement que la victime porte plainte. Puisqu’elle n’a que 17 ans et que son père ne veut pas porter plainte, il faut attendre sa majorité, il n’y aura pas encore prescription. Et ce jeune homme peut, en attendant, demander aide (sous forme d’aide juridique gratuite ou peu coûteuse) et conseils à la Manif’pour tous (www.lamanifpourtous.fr) et à l’Agrif (www.lagrif.fr).

Une « conduite de Grenoble » pour tous les ministres et pour les députés (de droite ou de gauche) qui ont voté la loi Taubira, entièrement d’accord. Il ne faut rien lâcher.
En revanche, par pitié, pas de tomates ni d’œufs pourris. Ils n’attendent que cela pour accuser les anti-loi-Taubira de vandalisme, d’agressions, de coups et blessures.

Notre force, c’est de rester strictement légaux (ou de ne commettre que les très
légères infractions de participation à une manifestation non autorisée ou non dispersion), parce que, devant des juges intègres (il en reste) ou devant la juridiction européenne de la Cour des droits de l’homme, nous aurons alors obligatoirement raison contre M. « La Faiblesse tranquille », M. Manuel « Gaz » et les policiers trop obéissants…