Qui a envie d’écouter le blabla de Trudeau à l’Assemblée?

L’on  sait que le fils de son père est à Paris pour faire oublier son image catastrophique à l’international ,  et ses diverses mises en scènes permanentes, devenu la risée de son pays, il est en chute dans les sondages. Lors de son discours, outre le baratin habituel,  Justin le kioute a surligné sa proximité et ses affinité avec Macronix lequel, dans un autre genre, est tout aussi ridicule que lui. (NDLR)

“Ravivons les valeurs humanistes”, a clamé Justin Trudeau devant les députés français. Le Premier ministre canadien s’est exprimé devant l’Assemblée nationale intégralement en français, le 17 avril, dans le cadre de sa première visite officielle en France. Dans un discours de 40 minutes, il a choisi de contourner le cynisme, s’affirmant pour la diversité, l’immigration ou encore pour l’égalité des sexes.

Dans un hémicycle comble, ce “descendant d’un charpentier français de La Rochelle” a chanté l'”amie de toujours, la France”, alors que “les grandes démocraties libérales portent la responsabilité d’articuler une vision claire et convaincante de l’avenir” face aux “défis”. “Amis Français, les Canadiens vous tendent la main. Ayons l’audace de bâtir ensemble un monde plus progressiste, plus diversifié, plus vert, plus inclusif, plus ouvert, plus démocratique ; un monde plus libre, plus égal et plus fraternel, un monde à notre image”, a-t-il souligné, soulevant les applaudissements de l’Assemblée.

Justin Trudeau était le premier chef de gouvernement canadien à se livrer à cet exercice auquel seule une vingtaine de responsables étrangers ont été conviés depuis le début de la Vème République, en 1958.

Justin Trudeau a mis un point d’honneur à souligner les convergences avec Emmanuel Macron. Avec le président français, Justin Trudeau reconnaît des visions communes sur les questions de diplomatie, de francophonie, de changement climatique ou encore de libre-échange.

“S’il y a une chose dont la France et le Canada sont conscients, c’est que la lutte contre les changements climatiques doit absolument être menée à l’échelle mondiale, puisque les conséquences du réchauffement planétaire ne connaissent pas de frontière”, a-t-il glissé dans une allusion implicite à Donald Trump.

Il a ainsi vanté les mérites du Ceta, le nouvel accord commercial entre l’UE et le Canada très décrié par la gauche et les écologistes, estimant que c’est un accord de “commerce progressiste”, entendre – qui prend en compte les intérêts du citoyen. Le Premier ministre canadien a insisté sur le fait que l’accord exonère l’industrie culturelle, un point essentiel pour la France.

Autre point d’entente, le sommet du G7, que préside le Canada cette année, qui sera placé sous l’œil d’un conseil consultatif pour l’égalité des sexes avec à sa tête Melinda Gates, la co-présidente de la Fondation Bill et Melinda Gates, et Isabelle Hudon, l’ambassadrice du Canada en France.

 

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