Dès les années 1885, quinze ans avant l’ouverture de la première ligne, des « métro-jouets » sont proposés dans les catalogues d’étrennes : on les retrouvera d’ailleurs sous diverses formes jusqu’à la fin du XXe siècle. De son côté, le cinéma va également s’emparer de cet attrait pour le métro et, dès le lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les souterrains de la capitale vont devenir un des décors de prédilection des réalisateurs tournant dans Paris.