Jean-Pierre Elkabbach très agacé par la conversion de Véronique Lévy au catholicisme au point de la comparer à la Shoah (et de la juger pire !)

Extrait de l’interview par Jean-Pierre Elkabbach de Véronique Lévy, sœur de Bernard-Henri Lévy récemment convertie au catholicisme, dans l’émission Bibliothèque Médicis diffusée le 10 avril 2015 sur la chaîne publique Public Sénat (invités précédents de l’émission : Serge et Beate Klarsfeld) :

La conversion de Véronique Lévy est perçue par Jean-Pierre Elkabbach comme une trahison envers la communauté (on le perçoit quand il lui demande si Dieu pourrait la faire “revenir vers nous”, oubliant qu’il travaille dans une télévision publique…). Au point que l’animateur compare la conversion au catholicisme à l’extermination nazie : “Il vaut mieux pour les juifs que leur destinée ne soit pas de se fondre dans des conversions qui les fassent disparaître, pire que d’autres ont essayé de le faire”, déclare-t-il. LCP a depuis retiré la vidéo de l’émission de son site.

(Via EetR)

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87 Comments

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  • queniart , 18 avril 2015 @ 18 h 35 min

    et Non Fleur de de pet tu as tort il y aura 1 état palestinien et ton entité disparaitra,et on ne dit pas nardine omouk mais moi je te dis nik al mouk ce qui est plus proche de la vérité comme quoi les pseudos sémites comme toi n’entendent rien a l’arabe,tu as l’air d’1 être fourbe comme tout ceux de ta tribu pleureuse et geignarde

  • anastasy , 18 avril 2015 @ 19 h 21 min

    la petite Lévy, elle doit souffrir !

    Etre la soeur de BHL ça laisse des séquelles !!!!

  • Psyché , 18 avril 2015 @ 20 h 16 min

    Elkabbach ne fait que répéter les dogmes des rabbins. Chez les juifs talmudiques, les pires des infâmies sont la conversion à une autre religion et le mariage avec une personne d’une autre religion.

  • Psyché , 18 avril 2015 @ 20 h 24 min

    Incendie criminel d’une église en Touraine, Vu qu’il ne s’agit ni d’une mosquée ni d’une synagogue, il ne s’agit donc pas d’un acte antireligieux, juste une “dégradation” gratuite commise par un “déséquilibré”.
    Circulez y a rien à voir.
    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/04/incendie-criminel-dune-%C3%A9glise-en-touraine.html

  • hermeneias , 18 avril 2015 @ 21 h 29 min

    Non non alaindebonnefoi

    Elkabbach fait bien ce pour quoi il est Payé par la ré publique !

    Il sera remercié et félicité par ses employeurs

  • Fleur de Lys , 18 avril 2015 @ 22 h 09 min

    tiens!!

    le “Fronçais” Quéniart a disparu!

    il est mort et on ne le lira plus

    mort de honte de s’être fait ridiculiser :lol:

  • hermeneias , 18 avril 2015 @ 22 h 11 min

    marie france

    Un jésuite a qui je demandais un critère de discernement pour envisager d’entrer dans la “Compagnie de Jésus” , me répondit à ma stupéfaction qu’il ne fallait pas être con , TEXTO !

    A la réflexion j’ai trouvé la réponse éclairante bien qu’à l’emporte pièce …. Mais je ne suis pas entré chez les jésuites !
    Ah ah !

    Je crois que cette réponse devrait valoir pour les chrétiens en général . Ils l’avaient certainement bien compris au Moyen-Age , au moins depuis St Anselme de Cantorbery , avec sa “foi cherchant l’intelligence” , et la création et la floraison des universités dans toute l’Europe ….

    Mais il semblerait que le christianisme contemporain nous fasse régresser vers un subjectivisme sentimental niais , pendant du relativisme régressif contemporain , d’où les interprétations très niaises du “tendre l’autre joue” appliqué de façon univoque à n’importe quelles situations.

    Ceci dit il est clair et incontournable qu’il est un moment où le chrétien doit en toute conscience , et sans faiblir , rendre témoignage au Christ en opposant au mal persévérant la force invincible d’un Amour Créateur et Rédempteur manifesté dans le Christ .
    Il y a effectivement là comme un point aveugle , une lumière trop forte pour la “sagesse” humaine ou des religions trop humaine , qui dépasse la nature et fait le caractère unique du christianisme qu’on le veuille ou non , que l’on y adhère ou non , qui s’est pourtant manifesté dans l’histoire

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