Novlangue. “Aujourd’hui, il n’y a plus que des éléments de langage”, regrette Olivier Delamarche ce lundi sur BFM Business. “Une troïka” devient “le groupe de Bruxelles”, “les mesures d’austérité” est remplacé par “une réforme”, “un chiffre moins important que prévu” est changé en “une reprise”, “la planche à billet” transformé en “une expérience nouvelle dont on ne connaît pas les résultats” alors que cela existe depuis l’Antiquité, etc. Le chroniqueur note également que la critique de l’euro est assimilée au “fascisme” :