Le génocide a été pratiqué depuis la plus haute antiquité. Dans un passé récent, on évoque évidemment la Shoah, les Arméniens, le Rwanda, le Cambodge de Pol Pot (auto–génocide). Le génocide peut prendre deux formes : éliminer directement une population ciblée ou la faire disparaître indirectement par d’autre types de mesures criminelles.
Le génocide indirect a été commis de nombreuses fois dans l’histoire. L’actuelle « crise des migrants » participe de ce projet : la noyade démographique des peuples européens.
Le soft génocide volontaire et nihiliste
Les peuples européens sont subrepticement victimes d’une tentative de génocide, d’élimination démographique et culturelle, pilotée par leurs propres élites ethnomasochistes et xénophiles. Une première dans l’histoire. Les autorités françaises sont, avec les belges, les plus impliquées dans cette entreprise de soft génocide. Ce dernier est à la fois physique et culturel.
Enrobé par l’idéologie antiraciste, il suit pourtant un objectif racial et raciste : éliminer d’Europe, progressivement, – et en particulier de France – les populations autochtones. Les éliminer par cinq moyens :
– en favorisant une immigration de peuplement de provenance extra-européenne ;
– en décourageant la natalité des autochtones et en pénalisant les familles des classes moyennes ;
– en provoquant l’exil des jeunes forces vives autochtones par des mesures de taxation dissuasive ;
– en privilégiant, sur les plans sociaux, économiques, juridiques et culturels, les populations d’origine extra-européenne par rapport aux autochtones ;
– en pénalisant et punissant toute opposition au projet global immigrationniste et toute entrave à son idéologie.
Certains à droite répètent que le « système », le pouvoir, l’État, les autorités de l’UE sont impuissants à maîtriser l’immigration massive et incontrôlée. Impuissants ? Ils sont très puissants au contraire et fort efficaces dans la réalisation de leur dessein : épuration ethnique de l’Europe, et de la France pour commencer.
En France, l’idéologie trotskiste joue un rôle central dans cette entreprise, dont le PS bourgeois et gauchiste et son conseil, le think tank
Terra Nova, sont les fers de lance. Un de ses dirigeants a récemment déclaré qu’il ne fallait pas trop s’inquiéter du votre FN parce qu’il allait décliner en proportion pour des raisons démographiques. C’est une stratégie subtile, cynique, élaborée. Les électeurs mal-pensants vont disparaître au profit de nouveaux. Ce « grand remplacement » ethnique est souhaité.
Terra Nova (« nouvelle terre », nouveau pays, nouvelle population) est un lobby métapolitique fort efficace, qui influence toutes les sphères du pouvoir. Son calcul électoral (séduire les immigrés et délaisser les classes populaires ou moyennes) est motivé par son animosité contre la France « de souche ». Cette hostilité provient de l’idéologie marxiste-trotskiste, dont l’« internationalisme prolétarien » est le cœur : détruire les appartenances nationales, enfin surtout celles des Européens.
Que l’islam soit sexiste, rétrograde, antidémocratique, etc. n’est pas le problème des idéologues trotskistes du PS et de Terra Nova, qui n’ont rien de « républicains ». Leur objectif obsessionnel est l’éradication de l’identité ethnique des peuples européens et notamment de la France. Cette idéologie trotskiste, « internationaliste » au départ, n’est-elle pas suicidaire pour ceux-là mêmes qui la prônent ? Oui, et alors ? Ils s’en moquent. Car ils sont logiques avec eux mêmes, ils sont nihilistes. Leur objectif est la destruction de ce qu’ils haïssent – la civilisation européenne. Pas la construction d’un nouveau monde auxquels ils ne croient pas eux-mêmes.
Les axes stratégiques du soft génocide
Les moyens utilisés, notamment en France, un laboratoire, sont les suivants. On les retrouve évidemment à l’échelle de l’Union européenne. Ils sont à la fois idéologiques, économiques, judiciaires et policiers.
1) Encourager l’immigration. Laisser faire et favoriser cyniquement par tous les moyens la colonisation de peuplement. La crise des « migrants » en est la dernière démonstration. On est passé à la vitesse supérieure. Après une immigration continue depuis trente ans (fuite d’eau) on en vient (inondation) à l’accueil de la déferlante de millions de migrants, sous le label humanitaire de « réfugiés ». Il n’y a aucune « impuissance » des autorités européennes à arrêter les flux migratoires ; on note au contraire (l’angélique et folle Mme Merkel en est l’exemple) la volonté de les accentuer. Toute expulsion est rendue impossible.
2) Favoriser l’islamisation. Tout ce qui est arabo-musulman devient intouchable et sacralisé par le pouvoir, en dépit des attentats islamiques et des gesticulations militaires contre Dae’ch. Le favoritisme envers l’islam est devenu une politique d’État. Et, de ce fait, l’ « islamophobie » s’impose comme péché capital, délit impardonnable.
3) Appauvrir et taxer les classes populaires et moyennes autochtones. Et les faires payer pour les autres. Toute la politique fiscale du gouvernement socialiste va dans ce sens : assistanat pour les immigrés même clandestins (pompe aspirante) financé par des ponctions croissantes sur le peuple de souche.
4) Mener une politique antifamiliale et antinataliste. En déconstruisant le système des allocations familiales, le gouvernement a réussi à faire baisser la natalité des autochtones en 2015. C’était bien calculé. La famille nombreuse de souche française n’est pas très appréciée…
5) Pratiquer la discrimination positive. Il s’agit de la préférence étrangère et ethnique dans l’emploi, au nom de l’« antiracisme ». Les entreprises privées y sont fortement encouragées et les administrations publiques y ont systématiquement recours dans les emplois peu qualifiés.
6) Assurer l’impunité judiciaire des délinquants d’origine étrangère. Cette politique, inaugurée depuis trente ans au moins, a été accentuée par le passage de Mme Taubira au ministère de la Justice, dont les orientation idéologiques (schizophrènes par ailleurs) sont parfaitement repérées : animosité envers tout ce qui est labellisé « franco-européen ».
7) Détruire la transmission culturelle dans l’Éducation nationale. Culpabiliser l’Histoire de France, démanteler l’enseignement du grec et du latin, démolir la grammaire et l’orthographe, dégrader l’ enseignement de la langue française, déraciner, promouvoir et encenser les cultures des populations immigrées – islamiques, africaines et autres… Tel est le programme suivi par l’État. Cette défrancisation, cette déseuropéanisation, Mme Vallaud–Belkacem, ministre de l’Éducation nationale « socialiste » et pseudo-féministe, en est l’actrice souriante, après bien d’autres ministres et syndicalistes de formation trotskiste.
8) Réprimer et punir tous les résistants à l’idéologie dominante.
Jungle de Calais et des environs : les immigrés illégaux qui commettent des exactions sont impunis ; les Français qui résistent, manifestent et tentent de se protéger sont matraqués, incarcérés et poursuivis. Les répressions contre la Manif pour Tous obéissaient à la même logique. Tout ce qui défend l’identité française est menacé et puni par l’État « français ». La même répression est observable dans les médias, écrits, audiovisuels ou internet. Les tribunaux et la police sont tolérants envers l’envahisseur occupant et impitoyables envers la résistance. On pourrait appeler ça le syndrome de Vichy, non ?
Collabos contre résistants
Les deux camps sont assez bien définis. Les autorités étatiques, médiatiques, judiciaires, policières – ces dernières aux ordres des précédentes – ont pour mission de juguler et de neutraliser la résistance du peuple autochtone et de ses défenseurs. Ils auraient tort de croire qu’ils ont gagné.
Ceux qui ont semé le vent de la guerre civile à venir en récolteront la tempête. Elle sera probablement sanglante. Ce n’est ni la bêtise, ni l’angélisme qui les a motivés. C’est la haine consciente et le désir de guerre, c’est la collaboration avec l’envahisseur et le pari de sa victoire. Mais ils risquent aussi de perdre la guerre qu’ils ont provoquée. Les résistants ont plus de chance de l’emporter parce qu’ils sont animés par une fidélité à leurs racines alors que les collabos sont soumis à des maîtres qu’ils peuvent toujours trahir .
Nous verrons bien qui vaincra, mais, à mon avis, ce sera comme toujours L’Armée des Ombres.