A peine les victimes des islamistes enterrées et les Charlie retournés à leur léthargie habituelle que les démonstrations de paix, d’amour et de tolérance des musulmans se font jour.
A Alger, des milliers de personnes ont marché sur le sentier de la guerre contre notre liberté d’expression jugée trop offensante. Au Pakistan, au Soudan, en Jordanie, à Jérusalem et en Turquie, le spectacle a été le même, avec des manifestations musclées, dont deux morts à Karachi où un drapeau français a été brûlé devant le consulat de France. Une banderole disait que « faire une bande dessinée en blasphémant le prophète était le pire acte de terrorisme », tandis que des slogans de paix et d’amour réclamaient la pendaison immédiate de l’ensemble de l’équipe de Charlie Hebdo.
A t-on jamais vu de telles démonstrations guerrières après la parution de caricatures de Jésus ?
Le point commun de ces démonstrations de tolérance islamique est l’absence totale de femmes, preuve qu’il ne s’agit pas de simples campagnes de communication ou de revendications spontanées. C’est bien de guerre qu’il s’agit. La guerre, cette affaire d’hommes…
Quelle différence entre ces musulmans du monde et ceux qui vivent chez nous ? Et puisqu’une guerre se déclare, de quel côté les modérés vont-ils se ranger ? Du côté du monde occidental avec sa liberté d’expression chevillée à l’âme, ou de celui de leur prophète plus précieux à leurs yeux que leurs propres enfants ?
Nos politiques, qui n’ont eu de cesse de minimiser le danger du dogme islamique à seules fins électoralistes, se rendent coupables de cette situation intenable. Ils ont fait entrer le loup dans la bergerie du bienveillant peuple français toujours si enclin, par tradition, à accueillir les étrangers chez lui avec une désarmante confiance aux conséquences aujourd’hui si terriblement funestes.
Philippe Esnol, ex socialiste, raconte que le procureur de la République lui avait déclaré que des ordres avaient été donnés pour ne pas faire appliquer la loi lorsque des femmes en niqab intégral étaient repérées, par crainte d’émeutes de la part des pacifistes musulmans des banlieues. Jean-Louis Bianco, président de l’Observatoire de la laïcité, avait refusé d’évoquer cette question avec lui et avait minimisé les faits sur son rapport. Najat Vallaud-Belkacem, ministre de la République mais également sujette du roi du Maroc, avait elle aussi refusé de discuter de cette embarrassante question. M. Esnol explique que le rectorat lui-même accorde l’ouverture d’écoles coraniques tout en ayant conscience que l’enseignement dispensé y est anti républicain, par crainte des conséquences.
Mais puisqu’on vous dit que les musulmans sont des gens très très tolérants et pacifistes, pas d’amalgame surtout !
Pendant ce temps, on se débarrasse de Zemmour avant de le mettre sous protection policière suite à des menaces de mort, pour avoir montré du doigt l’origine du problème, on évince l’embarrassant Houellebecq qui a osé lui aussi désigner le tempérament légèrement tatillon des adeptes de l’islam, la DGSI fait annuler la projection du film « l’Apôtre » de Cheyenne Caron sous prétexte qu’il pourrait être perçu comme une provocation par les adeptes de la religion de tolérance et de paix, et Philippe Tesson est en mauvaise posture au Point pour avoir dit que les musulmans portaient atteinte à la laïcité. Jusqu’à Aymeric Chauprade recadré par sa patronne Marine Le Pen pour avoir déclaré que « la France est en guerre avec des musulmans ».
Tous les indicateurs trouillométriques sont au rouge mais personne ne veut l’admettre, préférant nier le problème en choisissant d’en rejeter la responsabilité sur le dos de ceux qui ont le courage de le désigner.
On n’oubliera pas le fugitif Robert Redeker, désavoué par le Figaro en 2006 et condamné depuis à vivre caché jusqu’à la fin de ses jours afin de préserver sa vie menacée par les adeptes de la religion d’amour pour avoir déclaré que « haine et violence habitent le livre dans lequel tout musulman est éduqué, le coran », et « l’islam essaie d’imposer à l’Europe ses règles : ouverture des piscines à certaines heures exclusivement aux femmes, interdiction de caricaturer cette religion, exigence d’un traitement diététique particulier des enfants musulmans dans les cantines, combat pour le port du voile à l’école, accusation d’islamophobie contre les esprits libres ».
On le voit, le peuple français est mis en danger par ses pestilentielles élites plus empressées d’acquérir des voix et de se faire une place au soleil que de faire ce pour quoi elles ont été élues, à savoir gérer la France à la régulière en préservant au mieux les intérêts de la nation.
Les étoiles jaunes du machin européen ont fait main basse sur nos peuples pour mieux les avilir, les noyer sous des flots de populations trop nombreuses pour s’assimiler et que l’on encourage à imposer leur culture afin de réduire à néant la nôtre.
Les pays de culture européenne sont en danger de mort, en danger d’islam, en danger civilisationnel. Les coupables ne sont pas Zemmour, Houellebecq, le FN et tous les sages qui montrent la lune, mais bel et bien ceux qui ouvrent les frontières à tous vents, qui ouvrent les portes de nos maisons contre notre gré, qui nous imposent une idéologie intolérante et prosélyte qui considère qu’une femme vaut moins qu’un homme et qu’un bon chrétien est un chrétien mort ou converti à l’islam.
Bon sang, que les sots cessent une fois pour toutes de regarder le doigt !