Avortement : Frigide Barjot se renie

Dans un communiqué où transparaît son isolement, Frigide Barjot, aujourd’hui réduite à trépigner dans l’indifférence générale et à cultiver la nostalgie autour des grandes manifestations de l’année dernière, dénonce la marche pour la vie du 19 janvier 2013 comme un événement “ultra-provie”.

En janvier 2012, la communiquante s’y était pourtant rendue, assurant aux Nouvelles de France : « Je suis pro-vie et pro-manif pour la vie ».

La preuve par l’image :

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42 Comments

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  • jpr , 18 janvier 2014 @ 15 h 34 min

    Encore un gros caprice de diva, et ce n’est pas le premier… Dommage, Frigide, dommage !
    Frigide, ce qui est ultra, c’est de tuer des petits d’homme dans le sein maternel, pas de les défendre ; ce qui est ultra, c’est de prétendre aujourd’hui qu’une “union” homosexuelle est tout aussi légitime que celle, voulue par la nature, de l’homme et de la femme ; ce qui est ultra, c’est ton attitude de délation et d’ostracisation de tout ceux qui refusent de reprendre tes slogans (arrête de copier Valls et Peillon) ; ce qui est ultra, c’est de n’être qu’une chrétienne de pacotille, de fanfreluche, après avoir évacué tout ce qui pose problème aux tenants de la culture de mort : le Christ, s’il s’était comporté comme toi, ne serait pas mort pour toi sur une croix. Dommage, Frigide, d’avoir utilisé cette année de la Foi pour te construire une petite foi personnelle, sans aspérité aux yeux du monde mais aussi sans saveur, plutôt que de t’être laissée illuminée par la Foi catholique par laquelle Dieu lui-même nous éclaire sur son projet d’amour pour tout homme, et par laquelle il nous sauve.

  • Exupéry , 18 janvier 2014 @ 15 h 46 min

    La défense de la vie est une chose grave, tout comme le catholicisme.
    Ces engagements dans la durée, fondés sur la croyance en l’Éternité, sont finalement incompatibles avec l’agitation noctambule et hystérique du show-biz et la recherche de plaisirs frelatés.
    Elle est passée à “deux doigts” de la Vérité. espérons qu’elle y reviendra….

  • C.B. , 18 janvier 2014 @ 15 h 54 min

    À l’attention de ” Papouche 18 jan 2014 à 11:22″
    Selon vous “Qui sera aux trois? Personne.”
    Il est assez vraisemblable que vous vous trompez lourdement.
    C’est compréhensible pour les provinciaux, qui ne peuvent pas engager frais et lourde mobilisation de temps; les parisiens et franciliens seront nombreux à prendre le relais des “manifestations du lundi” (http://fr.wikipedia.org/wiki/Manifestations_du_lundi) qui ont été le point de départ de la chute du rideau de fer.

  • C.B. , 18 janvier 2014 @ 15 h 56 min

    “un débat sur du vide”
    Brillant qualificatif pour ce pseudo-mariage.

  • Alger de Saint-Brice , 18 janvier 2014 @ 16 h 44 min

    Tristesse: Frigide a largement contribuer a lever les consciences, avec, souvenons nous, beaucoup de courage. Le doute, sous l’effet de la pression politico-médiatique aura fini par l’emporter. Je veux croire que Frigide a craqué, comme d’autres craqueront, tant la haine de l’adversaire pour les valeurs que nous représentons est immense.

  • Tite , 18 janvier 2014 @ 16 h 50 min

    Madame Virginie Tellene avait beaucoup à perdre en fédérant les diverses mouvements au sein de la Manif pour Tous.

    Etait-ce de l’inconscience, un manque de réflexion et de recul, un débordement d’égo ou du courage ?

    Malgré le côté festif qu’elle a donné à ce mouvement, qui tenait plus du cirque que de la contestation, on ne peut lui enlever le mérite de l’action qu’elle a menée.

    Tout le monde était bien content de la trouver et de profiter de ses relations médiatiques.

    Aujourd’hui, elle paraît avoir beaucoup d’ennuis à cause de ses prises de position. Qui peut lui reprocher de vouloir essayer de sauver les meubles ? Tout le monde n’a pas vocation à la sainteté…

    Inutile de tirer sur les corbillards.

  • monhugo , 18 janvier 2014 @ 18 h 05 min

    Ce “la maniE pour tous” est rigolo… Lapsus, ou effet ?
    Savoir écrire le nom de ses adversaires – Copé, avec un seul “p”. Francisation du “Copelovici” initial – grand-paternel (Marcu Hirs Copelovici, le grand-père paternel donc, fut un des nombreux Juifs d’Europe centrale ou allemands réfugiés en France dans les années 20). Du côté maternel, c’est 100 % séfarade (sur les 3 pays du Maghreb).
    La famille Copé (nom choisi lors du décret de francisation – et prénom de M. devenant “Marcel”) échappa à la déportation au complet (parents et leurs 2 enfants – le futur père de Jean-François a 13 ans), lors de la rafle d’Aubusson, grâce à des “Justes”.

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