L’indécent absentéisme des fonctionnaires

Mettez un jour de carence pour les arrêts maladie des fonctionnaires et vous faites diminuer l’absentéisme, surtout le lundi et le vendredi. Supprimez-le et ces fainéants de fonctionnaires vont coûter 160 millions d’euros aux contribuables !

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64 Comments

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  • jean-luc , 17 décembre 2013 @ 9 h 49 min

    Le statut des miltaires est un statut à part, notamment en ce qui concerne les congés maladie (j’ai un neveu -eh oui on n’est pas responsable de ses collatéraux-qui est en congé depuis 1 an à pleine solde, pour dépression ou un truc comme ça -je ne sais pas exactement je ne fréquente plus son père- mais de toute évidence l’armée ne sait plus quoi en faire) mais je doute qu’ils aient droit à 3 jours par mois. Pour le reste de la fonction publique les 3 jours pour convenance personnelle sont à la discrétion du chef de service mais sûrement pas une fois par mois. Personnellement, je demandais -sauf cas humain très exceptionnel- systématiquement la récupération des heures non faites en accordant ces passe-droits au compte-goutte.

  • jean-luc , 17 décembre 2013 @ 9 h 51 min

    Les controles sur une journée voire deux sont impossibles vu les lourdeurs administratives.

  • jean-luc , 17 décembre 2013 @ 9 h 52 min

    Et le coût de la racaille immigrée ?

  • YARTALAM , 17 décembre 2013 @ 11 h 20 min

    @ranguin- Je ne peux pas laisser passer celle-là. Où avez-vous vu que la mutuelle pour les fonctionnaires était gratuite ? Ma belle-fille, en 2007, devait payer 125€/mois pour elle seule, niveau 2. Ne pouvant plus payer elle a cherché et trouvé une mutuelle, risques couverts équivalents, même niveau, pour 75€/mois. Si les fonctionnaires ont quelques avantages (tout dépend du grade et de leur catégorie ) ils n’ont pas celui-ci.

  • YARTALAM , 17 décembre 2013 @ 11 h 26 min

    @ranguin- Vous ne souffrez pas d’un complexe d’infériorité ? Si vous sentez que les gens vous regardent de haut faites leur un grand sourire. Cela les déstabilise et vous avez le plaisir de répondre à la mauvaise humeur parle rire.

  • garzouille , 17 décembre 2013 @ 11 h 44 min

    Tout à fait d’accord avec vous, Gisèle.

    Je m’occupe parfois à calculer la quantité de tracas provoqués, volontairement ou non, par des formulations maladroites de la part de la presse. Quand j’ additionne ces humeurs, et si je considère qu’elles sont rarement apaisées par un contradicteur ou par un “droit de réponse” plus formel, eh bien le total de ces occasions où la vérité n’est pas rétablie et où les gens sont (in)volontairement agacés suffit à les mettre en rage à la fin d’une année.

    C’est pourquoi je parle de «Faire la part des choses» , remède qui permet de surmonter la difficulté de communiquer de gens différents et inconnus (nous tous) qui essayent de tendre vers un objectif (que j’espère) commun.

    Cordialement.

    PS : si le titre était modifié par le webmestre, ou s’il le mettait entre guillemets (pour montrer son caractère “sujet à discussion” , ça serait mieux. Mais on a ici soit un problème technique, soit de personnel, soit de procédure.

  • garzouille , 17 décembre 2013 @ 11 h 55 min

    Il ne faut pas perdre de vue que travailler dans la fonction publique n’est pas déshonorant en soi. Dans un pays sain, l’alternative normale qui devrait s’ouvrir ici à eux ne serait pas seulement de “Quitter le Public” pour intégrer le Privé mais de “Soigner” (et guérir) le Public. Or ces soins, ces remèdes, appelons-les réformes, tardent à venir (c’est un euphémisme) et nous savons tous pourquoi ils ne viennent ni ne viendront pas, et pourquoi le secteur public ne sait plus se réformer qu’en s’effondrant sous son propre poids, en “cassant” , ce qui est une absurdité, récurrente dans tout “Système Administratif Dominant au sein d’un société”.

    Je parle ici de la faiblesse intrinsèque des individus de la fonction publique face à la technostructure inflexible de la fonction publique. Mais combien de scandales, d’affaires, dont ces individus ont connaissance, ne sortent jamais par peur des conséquences alors même que seuls ces scandales, bien utilisés, pourraient soutenir le train de la réforme ?

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