Kadhafi a bien donné 50 millions d’euros à Sarkozy pour sa campagne présidentielle de 2007

Coup dur pour Nicolas Sarkozy. L’information judiciaire des juges d’instruction Emmanuelle Legrand et René Cros avance à grands pas. Selon Mediapart, un expert a conclu à l’authenticité du document qui évoque le financement présumé de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007 par le régime libyen et le général Kadhafi. C’est également Mediapart qui avait révélé cette information.

Datée de 2006, la missive était adressée à l’ancien directeur de cabinet du dictateur et fait état du déblocage par le régime de Tripoli d’une somme de 50 millions d’euros en faveur de la campagne du candidat de l’UMP.

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30 Comments

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  • marcel , 16 novembre 2015 @ 8 h 41 min

    et c’est bien pour ça que Sarkozy c’est empressé de détruire Kadhafi, comme Georges bush en son temps avec Hussein !

  • Trahi , 16 novembre 2015 @ 9 h 00 min

    Quand je vois et que j’entends cet individu, je ressens un GRAND sentiement: DEGOUT!!!

  • Balfy , 16 novembre 2015 @ 9 h 59 min

    Et vous croyez que Sarkozy aurait accepté ? Encore une fois on voit ici la tactique fourbe de Hollande pour qui l’ennemi à abattre n’est pas l’Ei ni les djihadistes, mais Sarkozy !
    Basta, overdose de Hollande et sa clique de merdias, de pseudo-juges d’instruction véreux !

  • emmanuel , 16 novembre 2015 @ 10 h 00 min

    Il a donc tué le père…

  • Marino , 16 novembre 2015 @ 10 h 38 min

    Sarkozy-Kadhafi
    Histoire secrète d’une trahison
    Catherine Graciet

    Décembre 2007 : le président Sarkozy accueille en grande pompe le colonel Kadhafi à Paris. Mars 2011 : la France entre en guerre en Libye. Que s’est-il passé entre ces deux dates ?

    Quelques mots résument à eux seuls l’histoire des relations tumultueuses entre les deux chefs d’État : « financement politique », « pétrole et gaz », « ventes d’armes ». Et ce livre révèle d’abord les conditions et le modus operandi du financement libyen de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007. S’annonce alors le règne des hommes de l’ombre évoluant entre Paris et Tripoli — Ziad Takieddine, Alexandre Djouhri et le très secret Souheil Rached —, dont les agissements pèseront pendant des années sur la politique étrangère de la France. Jusqu’au fameux retournement.

    Ces faits historiques, et bien d’autres encore, sont établis sur la base de témoignages inédits. Les témoins clés de ce récit s’expriment à visage découvert, au péril de leur vie lorsqu’ils sont libyens et recherchés. Mais plusieurs Français aussi, anciens diplomates et marchands d’armes en activité, tombent ici le masque.

    En exclusivité également, des documents jamais publiés sur les négociations de ventes d’armes françaises à la Libye de 1999 à 2010. Mais aussi les dessous des tractations secrètes pour assurer au Rafale le marché libyen. Enfin, des informations inédites sur l’opération commando dirigée par Cécilia Sarkozy pour libérer les infirmières bulgares en 2007 et sur les dessous politiques et financiers de l’affaire. Sans oublier d’édifiants éclairages sur le jeu discret mais obstiné du Qatar tout au long de ces années.

    Catherine Graciet est journaliste. Elle a publié, avec Nicolas Beau, Quand le Maroc sera islamiste (2006)

  • lanza43 , 16 novembre 2015 @ 17 h 36 min

    honte à toi pauvre nase

  • marie , 16 novembre 2015 @ 19 h 37 min

    C’est pour ca que la 1ere personne qui est venu le feliciter a L’Elysée en visite officiel était Kadhafi.

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