Allonzanfandelapatriiiiee!

Regardez les! Regardez les bien tous ces traîtres, ceux qui par leur propagande, législation laxiste et délirante, leur islamisation forcenée et forcée, leur dhimmitude, leur volonté de Grand Remplacement… le drame est arrivé! Ils avaient beau brailler que le jour de gloire est arrivé, à de très rares exceptions près, ce n’était vraiment pas le leur mais celui de la HONTE! Rendons “hommage” à madame Taubira qui, fidèle à ses principes,  ne chantait pas.

couverture_du_2015-11-17

Il voulait être le « président normal » d’une France qui a besoin d’un homme providentiel et, sur ce point au moins, il aura tenu toutes ses promesses. Intervenant lundi devant les parlementaires réunis en congrès à Versailles François Hollande, loin d’annoncer la reprise en mains totale du pays qu’appelle « cette période d’une exceptionnelle gravité », s’est en effet perdu en « incantations » antiterroristes et apologie du « vivre ensemble ».

Quarante minutes sans citer l’islam

Le Président ayant subitement découvert que nous étions en guerre, la première des choses que l’on pouvait attendre de lui était de désigner clairement notre ennemi. Or, au cours de ses 40 minutes d’intervention, Hollande aura réussi ce tour de force de ne pas prononcer une seule fois le mot « islam ». Pourtant, c’est bien au nom de l’islam que les Mostefaï, Hadfi, Abdeslam et autre Amimour ont frappé vendredi notre pays.

Des terroristes musulmans donc, pour la plupart français, nés sur notre sol, ayant appris à détester notre pays dans les écoles de la République, radicalisés dans des mosquées françaises et, ensuite seulement, partis s’aguerrir en Syrie. Cependant, aussi terrible que soit cette gifle infligée au fameux « vivre ensemble » à la française, il n’est pas question un seul instant, dans l’esprit du chef de l’Etat, de remettre en cause ce modèle. Pire encore, s’il faut aujourd’hui « éradiquer le terrorisme », c’est « pour que la circulation des personnes et le brassage des cultures demeurent possibles ». Cette même circulation des personnes qui, chaque fois, a permis aux islamistes de nous frapper.

De l’immigration, d’ailleurs, il ne fut quasiment pas question lors de cette intervention. Et seulement pour nous expliquer, alors même que l’un des auteurs des attentats perpétrés vendredi bénéficiait du statut de « réfugié », qu’« il est vital que l’Europe accueille dans la dignité ceux qui relèvent du droit d’asile » !

Plus que les lois, manque la volonté

Certes, Hollande a aussi annoncé lundi toute une série de mesures allant de la prolongation de l’état d’urgence pour trois mois à une révision de la Constitution, en passant par l’intensification des opérations françaises en Syrie ou encore une résolution de l’ONU « marquant cette volonté commune de lutter contre le terrorisme ». Sans oublier, bien sûr, quelques créations de postes destinées à apaiser les professions en colère à l’approche des élections : 5 000 pour la police et la gendarmerie, 2 500 pour la justice…

Mais, plus que de nouvelles lois, qui ne seront pas ou peu appliquées, c’est d’une réelle volonté d’éradiquer l’ennemi dont la France a besoin aujourd’hui. Alors que, selon les propres mots de Valls, la menace terroriste était au niveau le plus élevé, comment des individus fichés S pouvaient-ils en effet circuler librement ? Et pourquoi avoir attendu les attentats de vendredi pour procéder à cette vague d’interpellations et de perquisitions à laquelle nous assistons aujourd’hui ? Deux exemples – parmi tant d’autres – qui montrent, s’il en était besoin, qu’aucune leçon n’a été tirée des attentats de janvier.

 Franck Deletraz – Présent

Related Articles