Meeting de Sens commun : Sarkozy acclamé ; Mariton, furieux, menace de partir…

Les deux candidats à la présidence de l’UMP se sont disputés les faveurs de la foule de militants réunis pour les écouter sur la loi Taubira qui dénature le mariage et instaure un droit à l’enfant :

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44 Comments

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  • PG , 16 novembre 2014 @ 19 h 25 min

    C’est Sens COMMUMP
    Car sens sans conscience n’est que ruine de l’âme………..

  • Pascal , 16 novembre 2014 @ 21 h 14 min

    Chaussettes rouges (Mariton) est en train de se faire plumer !

  • Ajax , 16 novembre 2014 @ 21 h 27 min

    Les paroles de NS me rajeunissent. Je me souviens en effet d’un Général qui en mai 58 à Mostaganem avait crié : “Vive l’Algérie Française”, on connaît la suite.

  • Monsieur T , 17 novembre 2014 @ 3 h 21 min

    En fait, un sarkozyste c’est quelqu’un qui s’en fout que 200 000 étrangers rentrent chaque années ou que l’ump soit un PS bis tant que c’est Sarkozy qui gouverne.

  • sergeG , 17 novembre 2014 @ 7 h 21 min

    Personnellement je suis opposé au mariage pour les homosexuels, car le mariage est l’union d’un homme et d’une femme. Mais je suis favorable à un statut similaire avec une autre appellation pour les homo pour la raison suivante : Le mariage c’est aussi un contrat de solidarité obligatoire entre deux personnes. Cette solidarité n’est plus à la charge de la société qui n’en a d’ailleurs plus les moyens.

  • Marino , 17 novembre 2014 @ 7 h 56 min

    La presse dénonce l'”opportunisme” de Sarkozy pour qui “l’UMP vaut bien une abrogation”

    Les éditorialistes dénoncent lundi “l’opportunisme et l’électoralisme” de Nicolas Sarkozy pour lequel “le strapontin de l’UMP vaut bien une +abrogation+”, après le revirement de l’ex-président sur la loi Taubira sur le mariage homosexuel.

    “Toutes les voix sont donc bonnes à prendre, semble répondre l’ancien président, y compris celles de la Manif pour tous, alors que l’opinion se rallie pourtant au mariage homosexuel”, constate Cécile Cornudet dans Les Echos.

    Dans L’Opinion, Rémi Godeau fait chorus : “sur la défensive, l’ancien président donne l’impression de verser dans l’électoralisme de circonstance, au risque de mécontenter tout le monde, de brouiller son image”.

    Notant que Nicolas Sarkozy s’est prononcé pour l’abrogation de la loi Taubira “avec une parfaite désinvolture”, Daniel Muraz du Courrier Picard estime que cela “confirme s’il était besoin l’opportunisme et l’électoralisme de l’ex-président.”

    “Si pour Henri IV (prêt à se convertir au catholicisme pour occuper le trône de France) +Paris valait bien une messe+, le strapontin de l’UMP vaut bien une +abrogation+”, ironise-t-il.

    Dans Le Midi Libre, Philippe Palat décrit un “Sarkozy, manoeuvrier à souhait.” Et de s’interroger: “après la clivante affaire Bygmalion, on peut se demander si la grande famille UMP saura se recomposer en vue d’une victoire en 2017. Tant la question du Mariage pour Tous reste, chez elle, source de brouilles et de divorces…”

    Jugeant que “Nicolas Sarkozy laisse planer un grand flou sur ses convictions réelles”, Jean-Louis Hervois (La Charente Libre) retient “au final qu’il veut être président, de l’UMP dans quinze jours, de la République dans trois ans. Or ce double combat l’amène sans cesse à sauter à cloche-pied d’un point de vue à l’autre sans convaincre personne. Ses propres ennemis s’y perdent”, conclut-il.

    “Nicolas Sarkozy prend la décision de diviser pour régner, peut-être, en 2017”, regrette Raymond Couraud dans L’Alsace.

    De son côté, Jean-Michel Helvig (La République des Pyrénées) est sidéré par “la légèreté avec laquelle il s’est engagé sur cette voie”, et comprend mieux “pourquoi Nicolas Sarkozy voudrait faire des référendums sur tout et n’importe quoi. Une façon de laisser trancher par d’autres ce qui l’embarrasse. Pour quelqu’un qui prétend incarner l’autorité présidentielle rétablie et une vision de l’avenir retrouvée, ça s’annonce mal”, persifle-t-il.

    17/11/2014 07:19:26 – Paris (AFP) – © 2014 AFP

  • ttm , 17 novembre 2014 @ 8 h 03 min

    pas d’accord avec votre titre, en effet, il y a trois orateurs, pourquoi oublier Bruno Le Maire, qui n’ a pas démérité.

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