Par Charles Chaleyat
Selon les médias, depuis quelques années, on trouve fréquemment parmi les musulmans, au milieu d’une énorme population de bons-fils-bons-frères-bons-voisins (que toutes les sociétés où ils s’acharnent à venir par masses, oppressent, méprisent et excluent..), nombre de déséquilibrés, cinglés, perturbés, fous, dérangés, instables, colériques… que la moindre Kalachnikov séduit et transforme en mitrailleurs tous azimuths.
A y bien réféchir, on ne peut comprendre cette affliction au crime que par une pathologie incurable que les sociologues, tels madame Bouzar ou Barack Obama, ont reconnue : la radicalisation (du suffixe radis* et du substantif kali**). Il s’agit en fait de la dégénérescence – dans un milieu occidental pathogène à l’excès – de deux dispositions fondamentales continuement pratiquées par les musulmans : l’amour et la paix. C’est cette maladie éminement transmissible, qui est responsable de ce besoin d’assassiner aussi bien des enfants, des femmes que d’autres êtres sans défense qui saisit tant de malheureux schizophréniques, et, quand la Kalach fait défaut, de décapiter ou de poignarder cet ennemi : le mécréant.
On ne saurait trop réfléchir et analyser ces atroces conditions sociétales occidentales certes quelque peu bénéfiques (santé, logement, travail et trafics…), qui affectent gravement tous ceux – nombreux – qui s’en approchent et les en écarter préventivement, sachant qu’un jour ou l’autre l’un de ceux-ci, Merah, Larossi, ou Kouatchi, etc., votre voisin si charmant, si poli et bien mis, si serviable…peut – le malheureux sans crier gare – succomber au mal…
*qui pousse dans le terreau occidental raciste (Benzema, Debbouz, Cantona…).
**déesse de la mort.