Après avoir été attaquée car elle refuse de chanter la Marseillaise, Christiane Taubira a jugé de bon ton de se défendre au sujet de cette polémique sur son compte Facebook, où elle explique en gros que seuls les racistes du Front National s’indignent de constater que la garde de sceaux ne chante pas l’hymne national. Et de publier de nombreux commentaires racistes antiblancs sur son compte Facebook.
La dernière polémique taubiresque vient des cérémonies de célébration du 8 mai, où de nombreux élus de l’opposition ont constaté avec stupeur que la ministre de la Justice française a refusé de chanter la Marseillaise.
Le conseiller national de l’UMP Geoffroy Boulard aurait demandé à Taubira pourquoi elle ne chante pas et elle lui aurait répondu «Je ne chante pas parce que je ne connais pas les paroles en entier».
Bien sûr, cette déclaration et le refus de Taubira de se soumettre à la tradition républicaine ont provoqué un tollé sur le net et les équipes de communication de la mère de l’esclavage moderne (GPA) ont dû publier un démenti, suivi de près par un édito de Taubira elle même, posté sur son compte Facebook.
Comme à son habitude, elle y joue la victimisation et essaye de nous faire croire que lesFrançais la détestent à cause de sa couleur de peau et non de son sectarisme totalitaire, de son laxisme judiciaire, de ses méthodes antidémocratiques et de sa vision de la société digne du Meilleur des Mondes.
Une tentative de manipulation qui passe d’autant moins qu’en lisant les commentaires de ses soutiens sur Facebook, on réalise que les attaques racistes ne viennent pas du camp où on les attend. En effet, sur le mur de Taubira, on peut lire des commentaires tels que :
Les blancs se croient à l’époque de l’ésclavage , où ils s’adonnaient à leur sport favori : « chasser le noir tel des barbares assoiffés de sang » .
Vous n’aurez pas sa tété , bande de barbare de blanc ………
On attend avec impatience les attaques en justice des associations antiracistes et l’exclusion de la ministre du gouvernement, comme ça aurait été le cas si un ministre UMP avait laissé des commentaires de la sorte sur son mur Facebook.
On se souvient d’ailleurs de la condamnation, en octobre 2013 d’un élu FN, Julien Sanchez, par la cour d’appel de Nîmes, à une peine de 3000 euros d’amende pour avoir laissé publier sur son mur Facebook des commentaires à connotation raciste. La justice va-t-elle oser porter dignement son nom, être équitable et réserver le même sort à sa chef ? Rien n’est moins sûr ! #deuxpoidsdeuxmesures
Le racisme antiblanc à la tête de la justice française, c’est maintenant !
A la suite de la publication de l’article de 24heuresactu dénonçant les commentaires racistes anti-blancs publiés sur la page Facebook de Christiane Taubira, ces derniers ont été supprimés. Étrangement, ni les médias ni la justice ne se sont penchés sur cette affaire gravissime…
La polémique sur Christiane Taubira et le chant de la Marseillaise par la foule, qu’elle qualifie de karaoké d’estrade, a fait beaucoup de bruit. Ce qui est resté sous silence est la publication, à la suite de l’édito de la ministre publié sr sa page Facebook, de plusieurs commentaires à caractère raciste envers les blancs qualifiés de « barbares ».
Jusqu’à présent, nous avons été les seuls à dénoncer ces excès et nous avions eu la bonne idée d’enregistrer des captures d’écran, bien convaincus que l’entourage de la ministre voudrait mettre une chape de plomb sur cet énième dérapage. En effet, quelques heures seulement après la parution de notre article, les commentaires en question étaient supprimés du compte taubiresque. Ce qui n’enlève rien au scandale d’une telle publication.
Il va de soi que ce n’est pas Christiane Taubira elle-même qui a validé ces commentaires, mais le simple fait que ses équipes de community management, chargées de gérer ses réseaux sociaux, aient laissé passer ce genre de commentaires prouve la mentalité de son entourage et sa vision de la France.
Espérons que chacun prendra ses responsabilités dans cette affaire, que les journalistes dénonceront ce climat de haine instauré dans notre république socialiste, que la justice condamnera Taubira comme elle a déjà condamné un élu FN dans une affaire similaire et surtout que le premier ministre décidera enfin de virer une femme indigne de notre république (n’a-t-elle pas milité pendant des années pour ne plus être française ?) sans nous faire une exfiltration de luxe à la Harlem Désir (Défenseur des droits ?).
Au pire, l’Histoire jugera Valls, Hollande et Taubira…
