Cet essai a été suscité par de nombreuses années de travail au parlement où Guillaume de Thieulloy a été éberlué par l’espèce de barbarie tranquille qui empêche de voir que le parlement n’a pas le pouvoir de légiférer sur tout, et que, pour qu’une démocratie fonctionne, il faut nécessairement qu’elle se réfère à des lois supérieures – sur lesquelles, par définition, le législateur n’a aucun pouvoir. Constatant que l’immense majorité des Français ignoraient que leurs « représentants » adhéraient pratiquement à cette espèce de « totalitarisme soft, il a rédigé cet ouvrage pour les en aviser.