Affaire Théo : “Les indignations sélectives sont agaçantes”, tonne Pascal Praud

2 Comments

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  Gisèle , 18 février 2017 @ 22 h 31 min

  Cette histoire ressemble à s’y méprendre à l’histoire de l’affaire Adama Traoré .
  Lisez la dans le dernier valeurs actuelles et vous comprendrez …
  Mêmes mensonges …mêmes manipulations !
  Les français ont toujours eu la mémoire courte !
  Pourquoi ? parce qu’ils ont toujours avalé tout rond sans avoir mâché et goûté … parce qu’ils veulent vivre demain avant d’avoir vécu aujourd’hui ..parce qu’ils ne prennent pas le temps de réfléchir … d’ailleurs leur en donne t on le temps ?
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  jsg , 19 février 2017 @ 17 h 54 min

  Ce drame provoqué par les impunités passées? des actes contre les policiers, amènent des excès, de la haine, au regard de tous ces djeunes sans emploi, mais pas sons “culture?”.
  Nous payons les conneries de Giscard-Chirac, et de la volonté sournoise des “instances” qui freinèrent des quatre fers pour ne pas renverser la vapeur.
  Et, ça n’est rien à côté de ce qui risque de se passer après les élections, et quel que soit l’élu. Je serais curieux d’entendre ce qui se dit entre quatre zyeux à la sortie de certaines mosquées… Daesh est moins loin qu’on nous le dit.
  Depuis le temps (des siècles) que de(les) grands esprits mettent en garde contre l’invasion islamique en Europe il a fallut que des nuisibles inconscients, gonflés de certitudes après un cursus ultra brillant, se laissent aller à commettre l’irréparable. Ils seront LES responsables des drames qui se préparent, et devraient payer comme il est de certains crimes déclarés imprescriptibles !
  Quand au pauvre Théo, il est dépassé par ce qui arrive.
  Quand-même une tournante dans un local à poubelles, on ne juge pas ça comme un crime raciste et pourtant… mais un viol à la matraque, ça, c’est plus important qu’une douzaine de gros cons après une gamine, parce qu’elle ne met pas de foulard !
  On aime notre police, elle est le seul rempart qui reste à la population pour la protéger des erreurs et veuleries de nos édiles.

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