Par Isabel Orpy
Décidément, les Européennes manquent d’humour et d’esprit ludique, elles n’ont pas appréciées les distractions que leur proposaient les invités de madame Merkel pour célébrer l’avénement de 2016. Pour preuve, les féministes, qui ne manquent ni d l’un ni de l’autre, ne condamnent pas ces divertissements sympathiques et fort agréables. Les agressions de Cologne et d’ailleurs n’étaient en fait qu’un jeu très répandu au Moyen Orient: le taharrush. Il se pratique de préférence avec des femmes occidentales. C’est beaucoup plus rigolo!
Afin de mieux y jouer, mieux vaut être en nombre: de un à deux milliers. C’est une distraction très codifiée qui ne s’improvise pas. Les joueurs doivent former trois cercles: le premier entoure une victime, l’empêchant de fuir, pour lui faire subir toutes sortes de sévices sexuels allant jusqu’au viol, le second cercle est celui des spectateurs qui savourent des yeux… quant au troisième, il est chargé de distraire les gens alentour afin qu’ils ne puissent s’apercevoir de rien et éventuellement, porter secours à la victime.
Les fonctionnaires de la police allemande ont enfin avoué que les gravissismes agressions subies par des centaines de femme à Cologne de la part de clandestins (assaillants) était un tarrush, soit un jeu de viol!
Le silence des politiques, des eurocrates, des médias, des associations, des musulmans dit “modérés”, de leurs instances, de ceux qui précipitent l’invasion migratoire, etc., est significatif de pire qu’une connivence: de complicité manifeste, en tête desquelles, l’on peut hisser deux femmes: Angela Merkel et Henriette Reker, maire de Cologne. L’Allemagne n’ayant renvoyé aucun de ces violeurs et probablement, ne les ayant pas particulièrement recherchés… Frontière n’étant plus qu’une terme… Le viol par les troupes d’occupation, on a déjà vu mais avec l’assentiment des dirigeants en place, ça c’est novateur et édifiant.
Mieux vaut le savoir et surtout, le faire savoir!