Un trans haineux a écrit cette dépêche, ce n’est pas possible autrement. Après avoir manifesté son soutien à Salman Rushdie, victime d’une tentative d’assassinat par un musulman, JK Rowling a déclaré avoir été menacé de mort et publié une capture d’écran prouvant ses affirmations :
.@TwitterSupport any chance of some support? pic.twitter.com/AoeCzmTKaU
— J.K. Rowling (@jk_rowling) August 13, 2022
Cela semble assez clair.
Pas pour l’AFP toutefois. “J.K. Rowling se dit menacée”, “La police britannique a indiqué dimanche enquêter sur une menace présumée dont l’autrice de la saga Harry Potter, J. K. Rowling, dit avoir été la cible sur Twitter” écrit l’agence.
Puis, elle nous enseigne le délire du gender :
“(JK Rowling) s’est ainsi attiré les foudres de certains internautes, qui lui ont rappelé que les hommes transgenres pouvaient avoir leurs règles, mais pas les femmes transgenres.”
Là, il n’y a plus de conditionnel.