https://www.youtube.com/watch?v=5922jD9Yge0
Elle est aussi distrayante à observer que navrante à écouter! A 35 ans, Marlène Schiappa ne sait pas encore s’exprimer correctement. Si elle ignore l’usage des liaisons, en revanche, elle connait deux termes dont elle use et abuse: absolument et notamment.
Son propos est pauvre, nourri d’éléments de langage, probablement fournis par le service de communication de Matignon, qu’elle ressort, alternant banalités consternantes et formules creuses, avec une insupportable autorité prétentieuse.
Si, régulièrement, nous parlons d’elle, c’est parce que les autres ne le font pas ou fort peu. L’Express sort l’affaire “Marie Minelli”, pose la question de savoir si c’est elle qui a écrit ces romans salaces et sulfureux, puis plus rien…
Nous avons enfin la réponse. Puisqu’à la question posée clairement, elle a répondu à plusieurs reprises: “ce n’est pas la question!” (19’43). Alors qu’elle aurait pu opposer un démenti formel, elle s’est embarquée dans un délire féministe sur le traitement du sujet par des médias qui, en fait, l’ont peu évoqué. Tentant de se réfugier dans le fait que les attaques ne viendraient que de l’extrême droite, ce qui est faux, laquelle serait contre la cause qu’elle défend soit l’égalité femmes hommes, ce qui est encore faux.
Ce qui nous insupporte, c’est elle: sa présomption, son manque de savoir vivre, son look inapproprié à sa fonction, etc. et une forme de lâcheté consistant à ne pas assumer son passé.
Trop jargoneuse, inaudible car discréditée, elle dessert la cause qu’elle devait servir.
Pour maintes raisons, nous n’avons pas à continuer à somptueusement salarier pareille secrétaire d’Etat, indigne d’un tel poste, et de cette grande cause du quinquennat, même si pour remercier son DRH, elle a prononcé sept fois le terme président de la République en vingt minutes…
N’ayant toujours rien trouvé d’aussi pertinent, en conclusion nous reprendrons encore l’excellent descriptif de Vincent Castagno dans le magazine Causeur: “Marlène Schiappa s’exprime à l’aide d’une voix sortie de la région supérieure des naseaux, émettant en continu des fréquences suraiguës qui pourraient être celles d’un violon démantibulé auquel il ne resterait plus qu’une corde. Le vacarme est éprouvant. D’autant qu’il arrive qu’il forme des mots qui eux-mêmes semblent former des phrases où l’on repêche çà et là ce qui pourrait bien être des idées. Le pêcheur débutant y débusquera sans difficulté des velléités néo-féministes et de vagues concepts marketing, flottant à côté de vieilles rengaines anti-islamophobes que suit la nuée de poncifs antichrétiens de rigueur. Surnagent aussi, dans cette mare sonore, ses conseils de savoir-vivre destinés aux femmes obèses, plus deux ou trois soupçons de pensée, peut-être davantage, que je n’ai pas réussi à identifier.