Affaire DSK : Michelle Sabban dénonce un “complot international”

Après Christine Boutin, Michelle Sabban, vice-présidente du Conseil régional d’Ile-de-France, a dénoncé un “complot international” ourdi contre Dominique Strauss-Kahn. “C’est le FMI qu’on a voulu décapiter et pas tant le candidat à la primaire socialiste”, a-t-elle affirmé à l’AFP. En effet, “c’est l’homme le plus puissant après Obama”, a expliqué celle qui dénonce une “nouvelle forme d’attentat politique”“On a voulu bloquer le FMI. On est dans la finance internationale…”

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3 Comments

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  • botton barbara , 15 mai 2011 @ 21 h 34 min

    Tout à fait d’accord avec Madame Michelle Sabban mais ce n’est pas tant le complot international que le complot américain car DSK contrecarrait sans doute certains intérêts financiers des américains qui sont réellement en faillitte …

  • MERLE DANIEL , 19 mai 2011 @ 10 h 25 min

    les effets pervers de la politique nationale voir internationale surtout quand cela représante l’économie mondiale nous as déjà prouvés de part le passé que nous sommes en droit de croire jusqu’a preuve du contraire que mr Domiinique Strauss Khan aurait pu etre tomber dans un piège. De le voir traiter de la façon dont il a été traité par la justice américainne et par les médiats qui s’en sont délecter en oubliant l’artile 9 du 26 aout 1789 je me suis sentis humilié.

  • Mostaert louis , 14 juin 2011 @ 16 h 56 min

    Affaire DSK.

    Et si on en revenait aux faits ?

    Une reconstitution des faits qui constituent les emplois du temps du présumé coupable et de la présumée victime peut donner une leçon très instructive…

    Il y a les faits inconnus : ce sont ceux qui se sont passés dans la chambre d’hôtel entre DSK et la femme de chambre.

    Mais il y a surtout les faits qui sont connus, établis, avérés et incontestables.
    1)DSK est dans la suite 2805-2806 de l’hôtel Sofitel qu’il s’apprête à quitter au terme d’un voyage privé où il n’est pas protégé par son immunité diplomatique de directeur du FMI. Pendant la nuit, de 1h30 à 3h, il a eu la visite d’une personne de sexe féminin.
    2)Une femme de chambre de l’hôtel, qui se trouve dans l’hôtel pendant son service dans cet hôtel de luxe avec ce que cela implique de rigueur et de surveillance (y compris avec des caméras), y fait une déclaration où elle accuse DSK de séquestration et d’agression sexuelle ; elle prétend s’être enfuie seule de la chambre occupée par DSK.
    QUE SE PASSE-T-IL DANS L’HOTEL APRES CETTE FUITE ?
    3)Dans l’hôtel, vers 12h30, le personnel et la direction de l’hôtel sont prévenus que la femme de chambre a été agressée. Ils sauront que c’est par DSK (l’occupant de la suite). La police est aussi prévenue, vers 13h30.
    4)Pendant ce temps-là, DSK
    -s’habille
    -rassemble ses bagages
    -quitte « normalement » l’hôtel
    -attend un taxi (de manière un peu anxieuse selon un témoin)
    -se rend à son rendez-vous prévu depuis 1 jour : un déjeuner au restaurant avec sa fille
    -se rend à l’aéroport pour y prendre un avion d’Air France où sa place est réservée depuis 3 jours
    -sue le chemin, téléphone à l’hôtel pour signaler l’oubli de son téléphone portable et de ses lunettes. Quand on lui demande où il est, il répond : sur le chemin de l’aéroport.
    -à l’aéroport, vers 15h40, passe par l’enregistrement de ses bagages puis par la zone
    d’embarquement
    -embarque dans l’avion, s’y installe et attend le décollage
    -et, seulement à ce moment, vers 16h40 ! se fait interpeller par la police !
    Il en faut du temps pour intercepter un violeur dont l’identité est parfaitement connue, en fuite vers l’aéroport où son avion l’attend ! pouvoir le présenter comme un fuyard arrêté au dernier moment en fait un présumé coupable : un innocent ne s’enfuie pas !
    5)Pendant ce temps-là, les autorités US mettent la prétendue victime sous hyper-protection c’est-à-dire au secret… vis-à-vis de son prétendu agresseur (qui sera sans délai incarcéré) et de tout qui chercherait à en savoir plus sur ses déclarations et son identité. Depuis quand les autorités US témoignent-elles autant d’égards pour une victime noire de condition modeste qui n’a même pas la citoyenneté américaine et qui est présumée victime sur la base de ses seules accusations et d’aucun autre élément (témoignage direct, faits avérés…) ?
    6)L’enquête de police révèle que
    -les prélèvements dans la chambre indiquent la présence de liquide séminal de DSK sur la moquette, l’évier et le chemisier de la femme de chambre
    -DSK se trouvait au restaurant à 13.00
    La déclaration de la femme de chambre est alors modifiée en situant l’agression, non plus à 13.00, mais à 12.00.
    7)DSK a démissionné du FMI dirigé jusqu’à la désignation de son successeur par le numéro 2 (un… américain).

    L’ancien directeur du FMI sait qu’il s’est fait piégé, par qui et pourquoi : il a été obligé de s’exécuter.
    La présumée victime a bel et bien subi des rapports sexuels sous la contrainte, mais pas sous la contrainte de DSK, sous la contrainte de ceux qui l’ont utilisée comme instrument pour piéger DSK.
    La réputation et les antécédents de DSK ne signifient pas, comme certains ont tout intérêt à le faire croire, qu’il saute sur toutes les femmes. Il a séjourné des dizaines de fois dans des hôtels où des femmes de chambre venaient faire sa chambre sans qu’il les ait violées.
    Que s’est-il passé de différent cette fois-ci pour qu’il ait des rapports sexuels avec cette femme de chambre-ci ? Déjà, la femme de chambre est entrée dans la chambre alors qu’elle n’avait aucune raison professionnelle d’y aller : DSK ayant loué la chambre pour une nuit, sa chambre ne pouvait être préparée pour le client suivant tant qu’il ne l’avait pas rendue à la réception de l’hôtel ! Surtout dans un hôtel où le prix des chambres exige qu’elles soient livrées dans un état irréprochable.
    Qu’est allé faire la femme de chambre à ce moment-là ? Les autorités américaines ne veulent absolument pas que quiconque puisse le savoir en le lui demandant…

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