Etam boycotté pour cause de dhimitude! (Vidéo)

https://youtu.be/GTHwGsu9nVQ

Coup de sang de Guillaume Roquette (directeur du Figaro Magazine) contre la marque Etam qui a mis à pied la directrice d’un magasin pour avoir refusé une candidate à l’embauche voilée : «J’ai un coup de sang contre une marque de lingerie bien connue qui s’appelle Etam. L’histoire se passe à Montpellier, vous avez une étudiante en hijab – c’est-à-dire en foulard islamique, je vous assure que c’est pas une blague – qui se présente dans un magasin en disant “Est-ce que vous pouvez me recruter ? Est-ce que vous pouvez me donner un job ?”. La directrice du magasin lui dit “Ecoutez, excusez-moi mademoiselle mais on vend de la lingerie donc c’est pas exactement la tenue ad-hoc”. Et bien que croyez-vous qu’il s’est passé ? Cette jeune fille s’est répandue sur les réseaux sociaux, peut-être d’ailleurs que c’était un test ou une forme de de piège qu’elle avait tendu au magasin, c’est tout-à-fait possible, Etam a été accusé d’islamophobie. Je veux dire, on rêve ! Qu’est-ce qu’a fait la marque ? Elle a MIS À PIED la directrice du magasin, elle a présenté ses excuses en disant “On est désolés, on est des gens inclusifs, etc.”, le résultat des courses c’est qu’un certain nombre de femmes ont décidé de boycotter la marque.»

 


Disons-le clairement, dans cette nouvelle affaire Etam qui défraie la chronique, il y a un responsable principal, il s’appelle Emmanuel Macron. C’est lui qui a, comme nous l’avions annoncé, donné le mode d’emploi aux musulmans pour pourrir la vie des petites entreprises, en annonçant à une voilée pleurnicharde qu’il allait mettre en place des brigades pour vérifier que des femmes comme elle ne seraient pas discriminées à l’embauche.

La suite ne s’est pas fait attendre. Quelques jours après qu’un cadre de chez Nocibé, Alain Bizeul, ait été suspendu, et soit en procédure de licenciement pour avoir, dans un cadre privé, envoyé balader l’islamiste Yassine Belattar, le qualifiant de « pourriture d’islamiste », ce sont les magasins Etam, qui, à Montpellier, viennent d’être victimes d’un véritable traquenard, monté probablement, comme l’explique Christine Tasin, par le CCIF.

https://ripostelaique.com/et-si-la-voilee-de-chez-etam-cetait-un-coup-monte-avec-le-ccif.html

Naturellement, la petite soldate de l’islam, qui affirme s’être présenté pour déposer un CV avec son niqab, pleurniche parce que la responsable du magasin n’a même pas retenu sa candidature. Et pourtant, celle-ci n’a fait qu’appliquer le règlement.

« conformément à notre règlement intérieur et comme l’autorise la loi », les employés en contact avec les clients doivent « respecter dans le cadre de leurs fonctions une totale neutralité dans leur expression comme dans leur apparence ».

Et c’est là que le sordide, le minable, la lâcheté, la dhimmitude, utilisons les bons mots, l’emporte. Le directeur général d’Etam, un nommé Cédric Taravella, suspend sa directrice, qui n’a fait pourtant qu’appliquer le règlement ! En agissant ainsi, il livre en pâture à l’ennemi sa responsable de magasin, et surtout il fournit le mode d’emploi aux musulmanes pour accentuer la pression, dans de prochains magasins Etam ou ailleurs. Avec un chef pareil, les salariés ne peuvent que se sentir abandonnés.

Mais au-delà de cette décision inique, cette décision confirme l’ampleur de la pression que les musulmans exercent sur les entreprises, et cela va se renforcer avec les brigades de Schiappa. C’est à l’islamisation de nos entreprises que nous sommes en train d’assister, avec la complicité active de Macron et sa clique, et à la discrimination positive qui s’accélère.

La remarquable Zineb El Rhazoui résume toute la situation. Le chantage qu’exercent les islamistes est fort simple : c’est l’embauche ou le boycott, elle aurait pu ajouter les procès et les intimidations, comme l’a vécu le restaurateur du Cénacle, dans un autre registre.

Guillaume Roquette a également piqué un coup de sang remarquable, comprenant que des femmes appellent au boycott d’Etam.

Et pourtant, c’est juste un principe laïque de base qu’énonçait le règlement intérieur d’Etam : pas de signe religieux sur un lieu de travail, pas de prosélytisme, et encore moins d’uniforme. Curieusement, deux jours après la provocation, aucune association dite laïque ne s’est manifestée, et les Insoumis, complices, ferment leur grande gueule.

Nous sommes vérolés de l’intérieur par l’islam et les collabos. Nous avons mis à la tête du pays le pire islamo-collabo qui soit, et nos entreprises sont dirigées par des couards comme ce Cédric Taravella, qui préfère lâcher ses salariés que de défendre le règlement intérieur de son entreprise, et ceux qui l’appliquent.

Martine Chapouton- Riposte laïque

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