Il paraît que oui. C’est pour ça qu’on renverse des régimes un peu partout pour revendre un peu de démocratie, tellement on en a en stock! Ca déborde!
borphi , 14 décembre 2015 @ 21 h 51 min
Non ! Ce n’est pas la démocratie qui est sauvée , alors qu’elle meurt.
Et non plus la France.
Mais la république.
Gisèle , 15 décembre 2015 @ 0 h 05 min
Ouf ! 6000000 d’électeurs qui voient clair !
6000000 d’électeurs sans ramure , qui peuvent encore passer les portes !
Gisèle , 15 décembre 2015 @ 0 h 10 min
Marc ! vous avez oublié … la corruption ! Mais pour alimenter la corruption , il faut de l’argent !
A votre avis …. le ** trésor ** le permettra t il encore longtemps ?
pauledesbaux , 15 décembre 2015 @ 8 h 14 min
merci sarkonainul les socialistes et bhl
delaye , 15 décembre 2015 @ 8 h 57 min
Le “tous pourris” s’est vérifié. J’aimerais savoir le nombre de ceux qui n’en font pas partie. Seul, le scrutin majoritaire est valable en vraie démocratie.
Selon l’article 3 de la constitution du 4 octobre 1958, la république française est une démocratie :
“La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum”.
Les politiciens français chantent la même chanson. Ils passent leur temps à donner des leçons de démocratie, de « droit-de-l’hommisme » et de morale au peuple français et à la Terre entière. Avec succès d’ailleurs : nombre de Français sont absolument persuadés de vivre en démocratie.
La réalité est radicalement différente : les gouvernants décident de tout. Les rares référendums n’ont lieu qu’à leur initiative et sur des thèmes imposés par eux. Et quand le résultat ne leur convient pas, ils le font annuler par un vote des élus en sens contraire.
Le 29 mai 2005, les Français ont été appelés à voter pour ou contre la ratification d’un traité établissant une Constitution pour l’Europe. 54,68% des votants ont répondu « non ». Pourtant, dès février 2008, on a déjugé les électeurs et mis en place un traité proche de celui qu’ils avaient refusé en 2005.
La République Française est donc une démocratie représentative où les dirigeants prennent toutes les décisions souverainement et en dernier ressort, c’est à dire un régime autoritaire à 100%. Une dictature des élus.
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