Cette obstination dans l‘appui à la caste gouvernante vers le suicide national a quelque chose de “fascinant”!

Par Charles Chaleyat

Ils sont de la trempe des grands révolutionnaires et des grands résistants*: capables de se soulever et voter contre des hordes fascistes inexistantes, composées de beaucoup de leurs compatriotes (6.800.000 aux dernières élections), exploités et ridiculisés comme eux par les politiciens.

Soutiens d’un parti qui a abaissé son pays ou d’un autre (traitre jusqu’en 1941), se réclamant d’un régime responsable de 80 millions de morts, applaudissez leur sens civique ! Voyez le spectacle : aux ordres, ils votent en masse pour tous ces ripoublicains (honnis auparavant) qui constamment depuis cinquante ans mènent en alternance avec les socialauds, une politique qui les écrase et les chasse de leur propre pays.

Ceux que de Gaulle appelait des ‘veaux’ ont peut-être des excuses : le poids de l’unanimité des pouvoirs les ayant appelés à ne pas se défendre : politiciens, médias, évêques, rabbins, professeurs, ‘artisses’ et histrions. Y ajouter aussi le grand cirque ‘écologiste’ occupant les écrans avant d’accoucher d’une souris. Ils ont – il faut le reconnaître – une certaine constance admirable dans leur propre destruction et l’éviction de leur terre.

La conclusion de tout cela, c’est que ces électeurs auront bien mérité de leurs votes.

La France va continuer dans ce qui la ronge depuis Giscard : perte de son identité par submersion démographique. A cela, ils vont ajouter – dans leurs vies et celles de leurs enfants – le chômage, les attentats, l’immigration démentielle, la dette publique, l’inféodation totale à l’Europe donc aux Etats-Unis…  les conduisant de plus en plus vers la misère et leur disparition en tant que nation.

Cette obstination dans l‘appui à leur caste gouvernante, dans l’auto-dénigrement et vers le suicide national, a quelque chose de “fascinant” qui interpellera peut-être bientôt notre jeunesse autruche-baudruche, si elle ne s’abandonne pas, plus qu’aujourd’hui, aux délices d’une société festive et bruyante, sans honneur et sans principes,  celle même que condamnaient leurs tueurs au Bataclan.

* Je n’ai jamais rencontré de ‘petit’ résistant ou de résistant ‘moyen’ mais des résistants de papier, tel Estrosi, Le Résistant!

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