Une ancienne étudiante de l’IRCOM cherche des fonds pour réaliser une thèse sur l’impact de l’image, notamment des images violentes et pornographiques, sur les comportements humains et plus précisément, sur la déformation de l’image de la femme. “Quelles sont les conséquences psychologiques pour l’enfant dans sa conception de la femme, quand celle-ci est déformée par des images diminuantes ?”, s’interroge-t-elle. En effet, “les enfants d’aujourd’hui feront la société demain. Pourtant certains, pour des raisons mercantiles, ne semblent pas se soucier des conséquences psychologiques, identitaire et relationnelles de la circulation d’images ‘déséducatives’. Les images violentes et pornographiques donnent un anti-modèle et une représentation dévalorisante de la femme, des rapports humains et portent atteintes à la dignité de l’Homme par des représentations diminuantes, au rapport faussé et porteuses de névroses engendrant des comportements antisociaux.”
Deux laboratoires universitaires sont prêts à soutenir les recherches de cette étudiante : l’un en communication et l’autre en psychologie cognitive. Reste à trouver un financement… Le coût engendré correspond à la rémunération du chercheur à hauteur du SMIC mensuel sur trente six mois, durée du doctorat. Si vous êtes intéressés par ce projet de thèse, contactez la rédaction qui fera suivre.
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