Nicolas Doze : l’inventivité fiscale de l’État est sans limites

24 Comments

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  MIMI , 14 septembre 2013 @ 17 h 23 min

  Tout à fait d’accord srayzoulou, Qu’ils prennent une sévère claque à toutes les élections futures et nous verrons qui aura le dernier mot. Au point où nous en sommes et si duel PS-FN, pas de problème, le bleu marine ne peut pas faire pire …
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  charles-de , 14 septembre 2013 @ 18 h 16 min

  Mais les caisses seraient vite pleines !
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  charles-de , 14 septembre 2013 @ 18 h 21 min

  Une fois de plus, je répéte que si l’on prend de plus en plus de CSG, de TVA, de cotisations sociales, d’impôt sur le revenu etc, il reste de moins en moins à dépenser pour d’autres choses, donc moins de TVA encaissée en particulier, de TIPP etc.
  Autrement dit, tout ça, comme aurait dit ma grand-mère, n’est QU’UN CATAPLASME SUR UNE JAMBE DE BOIS !.
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  charles-de , 14 septembre 2013 @ 18 h 27 min

  Mais des taxes sur l’eau, on en paie déjà !
  Et même pour l’électricité, on paie la TVA sur les taxes locales (invention de Bérégovoy en 1991).
  Et on paie l’impôt sur le revenu y compris sur la CSG qu’on nous a retenue !
  L’imagination du fisc est sans limites quand il s’agit de RUINER UN PAYS au profit des parasites.
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  Bonsens , 14 septembre 2013 @ 20 h 30 min

  les cons ça ose tout c’est même à ça qu’on les reconnait
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  François Desvignes , 15 septembre 2013 @ 2 h 39 min

  Se faire avoir est une chose, comprendre pourquoi c’est mieux.

  L’Etat n’est pas inventif, il est aux abois.

  C’est parce qu’il est en faillite qu’il surimpose.

  pas parce qu’il est devenu socialiste : de ce point de vue, “l’Etataen faillite = toujours plus d’impoôts” est un théorème remis à l’ordre du jour par Sarkozy qui le premier après avoir juré qu’il baisserait les impôts n’a fait qu’en creer.

  Donc, aussi longtemps que l’Etat sera en faillite, il surimposera.

  Jusqu’à la rupture jusqu’au double défaut de paiement : celui de l’Etat submergé de ses dettes, ; et celui de la ruine et/ou la révolte fiscale du contribuable.

  or, le changement de majorité ne changera pas grand chose, peut-être aura-t-on droit à des différences de teinte, mais certainement pas à des inversions de tendance.

  Pour obtenir une rupture de cette logique “toujours plus de dettes, toujours plus d’imp)ôts, toujours plus d’Etat” il faut changer de REGIME.

  Et avoir conscience qu’aucune des trois formations de tête d ela république n’envisage cette option MAIS SON EXACT INVERSE : le maintien de la république interventionniste.

  C’est la branche sur laquelle ils sont tous assis.

  PS,UMP, FN

  le vote n’est pas la réponse.

  La résistance civile, oui : en retirant nos soutiens de consommation au régime, on accélère sa ruine et donc notre libération.
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  GV , 15 septembre 2013 @ 7 h 17 min

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