JO: jours (h)orribles pour les plus démunis!

Ils habitent dans une favela à deux kilomètres du village olympiques, mais pour eux les jeux n’ont rien apporté de bon. 368 familles ont été déplacées pour laisser la place à la construction d’une ligne de bus rapide, et ceux qui n’ont pas été relogés se plaignent de fissures dans leurs maisons et de l’insécurité qui règne maintenant dans la rue.

“On est habitué à vivre dans le calme et là, nous sommes sous tension en permanence” explique Maria Do Socorro. “Personne n’arrive à dormir, il y a des assassinats, des morts, des échanges de tirs… Des choses qui avant n’arrivaient pas. Avec ces travaux, l’atmosphère est très tendue.”

 

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